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Couverture-Benetti-Lunettes-Galerie-Vig-c-Ed-Assouline

L’art suprême du nautisme… signé Benetti

En photo : BENETTI © Ed Assouline // ©Tom Van Oossanen

Couverture-Benetti-c-Ed-Assouline

BENETTI

Texte Kevin Koening
292 pages (plus de 200 illustrations)

Huile sur toile 93,3 x 111,5 cm Washington, The National Gallery of Art,

Ed Assouline (assouline.com)

C’est un livre anniversaire, hommage à la marque, mais surtout aux extraordinaires navires que le groupe Benetti a imaginés. Pour lui, la réalisation des rêves n’est pas une nouveauté, c’est un mode de vie pour ce constructeur qui œuvre depuis 150 ans. Avec plus de 400 yachts construits à ce jour, Benetti est un pionnier de la construction nautique et incarne LA référence de construction navale. Ce qui a débuté comme des voiliers en bois pour des pêcheurs s’est transformé en yachts à vapeur avant de devenir des giga-yachts à la pointe de la technologie, fleurons de l’’innovation. Du El Caran de David Bowie au Delfino de 18 mètres (considéré comme le 1er yacht de luxe au monde) et l’IJE de 108 mètres (le plus grand jamais créé par Benetti), voilà mis en lumière sa clientèle exclusive (dont Zlatan Ibrahimović), les artisans et designers de la marque. Son histoire montre son engagement en faveur de la durabilité et son dévouement à l’innovation. Une liberté et une passion au service d’une créativité sans limite ! 

Benetti-Lunettes-Galerie-©-Jeff-Brown_Breed-Media

© Jeff Brown / Breed Media

Benetti-Lunettes-Galerie-©-Alessandro-Guerrieri

© Alessandro Guerrieri

© Breed Media

Benetti-Lunettes-Galerie©-Tom-Van-Oossanen

©Tom Van Oossanen

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Carine Bruet

Caillebotte l’observateur de la modernité

  En photo : Affiche de l’exposition Caillebotte l’observateur de la modernité  //  Balcon [Un balcon, boulevard Haussmann], vers 1880. Huile sur toile, 69 x 62 cm. Collection particulière. © Photo Josse

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Affiche-Vig©-Fondation-Jardin-Majorelle-Photo-Nicolas

Enchanteur jardin majorelle !

En photo : 100th Anniversary jardin majorelle © DR //  © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

Affiche-du-centenaire-Jardin-Majorelle-c-DR.jpg

Affiche du centenaire du jardin majorelle © DR

100 ans, le bel anniversaire ! Une magnifique occasion de (re)découvrir cet endroit hors du temps, l’un des plus célèbres au monde. Car flâner dans ses verdoyantes allées est un enchantement. Sur plus d’un hectare de terrain, en plein cœur de Marrakech, dans le quartier Guéliz, au nord-ouest de la Médina, poussent ici plus de 300 espèces des plus incroyables variétés de plantes et d’arbres, dénichées par son propriétaire et créateur, Jacques Majorelle. 

Majestueux cactus, yuccas, nénuphars, nymphéas, jasmins, bougainvillées, palmiers, cocotiers et bambous… font le bonheur des visiteurs. Un tableau végétal luxuriant, à ciel ouvert, avec ses centaines d’oiseaux roucoulants dans les arbres. « D’une force rare, il est unique en son genre, décrit Madison Cox, le célèbre jardinier-paysagiste américain, veuf de Pierre Bergé et aujourd’hui président de la fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent, qui a redonné ses lettres de noblesse à ce havre. Comme Claude Monet, Majorelle fut l’un des plus grands collectionneurs de végétaux de son époque et son jardin lui servit de toile de fond pour ses tableaux. Tout comme Monet, toujours à l’affût de nouvelles plantes, Majorelle finança des expéditions botaniques. Important de nombreuses variétés d’essences rares, il correspondait avec d’autres collectionneurs et avec les jardins botaniques du monde entier… »

À la demande de Pierre Bergé et d’Yves Saint Laurent, la roseraie d’antan a aujourd’hui fait place à un sublime jardin d’agrumes, pour des questions d’économies d’eau, tout comme le gazon remplacé par du joli gravier rose, en hommage aux couleurs de Marrakech : un bel exemple aussi de préservation de l’environnement ! 

FONDATION JARDIN MAJORELLE

Ouvert tous les jours

Rue Yves Saint Laurent, Guéliz, 40090 Marrakech, Maroc.
jardinmajorelle.com

L’HISTOIRE

En 1917, le peintre orientaliste français Jacques Majorelle (1886-1962), fils du célèbre ébéniste Art Nouveau, Louis Majorelle, découvre le Maroc et décide de s’installer en 1919 dans la médina de Marrakech, alors sous protectorat français. En 1923, il achète une importante palmeraie en bordure de celle de Marrakech (qui deviendra le Jardin Majorelle que nous connaissons aujourd’hui) et fait construire sept ans plus tard la Villa Bousafsaf d’architecture classique marocaine. Yves Saint Laurent et Pierre Bergé, qui l’acquièrent en 1980, la rebaptiseront Villa Oasis. 

En 1931, Majorelle fait appel à l’architecte français Paul Sinoir pour construire son atelier de style Art déco d’une étonnante modernité, qu’il personnalisera du “bleu Majorelle” : une habitation au 1er étage et un vaste atelier d’artiste au rez-de-chaussée pour peindre ses immenses décors. Amoureux de botanique, il crée son jardin en plusieurs ambiances variées, autour de sa villa, le long du bassin central. À partir de 1947, il décide de l’ouvrir au public. A la suite d’un accident de voiture, Majorelle est rapatrié à Paris où il décède en 1962. Le jardin est alors laissé à l’abandon. C’est en 1980 que Pierre Bergé et YSL en font l’acquisition pour le sauver d’un projet immobilier et lui redonner vie. Après le décès d’YSL en 2008, Pierre Bergé fait don du jardin à la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent. C’est alors qu’est créée la Fondation Jardin Majorelle. A l’occasion des 100 ans du Jardin Majorelle, des festivités et événements culturels ponctueront l’année pour le plaisir des Marrakchis et des visiteurs. 

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 © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

Pierre-Berge-et-YSL-©-DR-Musee-Yves-Saint-Laurent-Paris.jpg

 Pierre Bergé et Yves Saint Laurent, Marrakech, fin des années 1960 © DR Musée Yves Saint Laurent Paris

Bleu-majorelle-Lunettes-Galerie

En 1937, l’artiste Jacques Majorelle crée
un bleu outremer à la fois intense et clair :
le bleu Majorelle, dont il teinte son jardin qu’il ouvre au public en 1947.

Bleu-majorelle-Lunettes-Galerie

EN VISITE !

Au sein du sublime Jardin, vous découvrirez aussi… Le mémorial Yves Saint Laurent (une colonne romaine trouvée sur la plage de Tanger) érigé à la mémoire du couturier, disparu le 1er juin 2008. « C’est la manière qu’ont les artistes de ne pas mourir tout à fait » aimait à dire Pierre Bergé. Mais aussi, situé dans l’ancien atelier de Jacques Majorelle, le Musée Pierre Bergé des arts berbères : un panorama de l’extraordinaire créativité de ce peuple à la culture toujours bien vivante, le plus ancien de l’Afrique du Nord avec plus de 600 objets (bijoux, armes, cuirs, vanneries, tissages, tapis). Une merveille ! Découvrez également la sublime librairie dont une section est consacrée à la mode, la boutique et son riche artisanat marocain, et le Café Majorelle (ou Café Bousafsaf), avec sa jolie cour extérieure ombragée sous les orangers et les bougainvillées blancs. Dépaysement garanti !

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 © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

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 © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

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Carine Bruet

Caillebotte l’observateur de la modernité

  En photo : Affiche de l’exposition Caillebotte l’observateur de la modernité  //  Balcon [Un balcon, boulevard Haussmann], vers 1880. Huile sur toile, 69 x 62 cm. Collection particulière. © Photo Josse

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Couverture-Dolce-Vita-Lunettes-Galerie-Vig-c-Ed-Assouline

À l’heure de la Dolce Vita

En photo : couverture DOLCE VITA© Ed Assouline // © Alfonso Della Corte

Couverture-Dolce-Vita-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

Une attitude, une esthétique, une ambiance… Bien plus qu’un simple concept, la dolce vita est un style de vie. Mode de vie typiquement italien, elle se popularise au cours des années 1960, avec la sortie du film du même nom de Federico Fellini. Six décennies plus tard, la dolce vita fait toujours parler d’elle, donnant à l’Italie un charme unique, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. De Ferdinando Scianna à Bruno Barbey, de nombreux photographes ont capturé son esprit, immortalisant sur leurs clichés cet esprit italien, de Rome, en passant par Naples et la Sicile. Ces pages sont aussi remplies de personnages inoubliables comme Maria Callas, Sophia Loren et Marcello Mastroianni. Un voyage épicurien à la découverte de l’Italie… comme on les aime ! 

DOLCE VITA

Texte de Cesare Cunaccia, 320  pages

Editions Assouline (assouline.com)

Dolce-Vita-4-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline © Matt Jones

© Matt Jones

Dolce-Vita-6-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

© Arthur Elgort

Dolce-Vita-2-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

©  Eleonora d’Angelo

Dolce-Vita-Marcello-Mastroianni-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline-c-Farabola-Bridgeman-images.

© Farabola

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© Alfonso Della Corte

Dolce-Vita-1-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

© Victor Maschek

Dolce-Vita-3-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

© Oliver Pilcher

Dolce-Vita-4-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline-c-Onairda-Getty-Images

© onairda

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Carine Bruet

Caillebotte l’observateur de la modernité

  En photo : Affiche de l’exposition Caillebotte l’observateur de la modernité  //  Balcon [Un balcon, boulevard Haussmann], vers 1880. Huile sur toile, 69 x 62 cm. Collection particulière. © Photo Josse

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Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Ed-Assouline

Visite privée de l’Eden Rock St Barths

En photo : couverture Eden Rock St Barths © Ed Assouline // © Romain Réglade

Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Ed-Assouline

Pour fêter les beaux jours, nous partons en visite ! Dans l’un des hôtels les plus emblématiques du monde et qui fête cette année son 70e anniversaire. Il date du milieu des années 1940, lorsque l’aviateur et aventurier franco-néerlandais Rémy de Haenen découvre à l’époque ce grand promontoire rocheux s’avançant vers la mer, alors qu’il atterrissait (il fut le premier à le faire) sur la plage de l’île vierge de Saint-Barthélemy, dans la mer des Caraïbes, au nord des petites Antilles. En 1953, ce dernier décide de transformer la maison qu’il avait construite en chambre d’hôtes la plus exclusive du monde : l’Eden Rock était né. L’hôtel est aujourd’hui une référence en matière d’hospitalité mondiale, summum du luxe avec son service inégalé et sa gastronomie de haut vol, mais se distingue aussi pour son esprit décontracté. De l’emblématique Bar Rémy à la villa privée Rockstar, chaque espace est unique et fait vivre à ses hôtes une expérience caribéenne sur mesure. Sable blanc, eaux cristallines, paysages colorés de l’île…, lâchez prise et rêvez au fil des pages ! 

EDEN ROCK ST BARTHS

160  pages, 140 illustrations

Editions Assouline (assouline.com)

Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Noe-DeWitt

Profitez d’une voie d’accès au paradis des Caraïbes
© Noe DeWitt

Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Jeanne-Le-Menn

La plus belle plage de l’Eden Rock
© Jeanne Le Menn

Eden-Rock-2-Lunettes-Galerie-©-Romain-Reglade

Le dernier décollage de la journée à l’heure d’or © Romain Réglade

Eden-Rock-2-Lunettes-Galerie-©-Jeanne-Le-Menn

La suite Signature Christophe Colomb offre une salle de bain ouverte et une vue à 360° des environs
© Jeanne Le Menn

Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Romain-Reglade

La terrasse de l’unique Premium Suite Fregate © Romain Réglade

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Caillebotte l’observateur de la modernité

  En photo : Affiche de l’exposition Caillebotte l’observateur de la modernité  //  Balcon [Un balcon, boulevard Haussmann], vers 1880. Huile sur toile, 69 x 62 cm. Collection particulière. © Photo Josse

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Grand-Prix-de-Monaco-Lunettes-Galerie-Vig-c-Ed-Glenat

Monaco, une plongée au cœur du plus prestigieux Grand Prix de Formule 1 !

En photo : couverture Grand Prix de Monaco, l’âge d’or © Ed Glénat // Extrait du livre © Ed Glénat

Couverture-Grand-Prix-de-Monaco-Lunettes-Galerie-c-Ed-Glenat

Le 81e Grand Prix de Monaco se tiendra en Principauté,
du 23 au 26 mai 2024.

Voilà un livre qui ravira fans et passionnés de sport automobile. De tous les Grands Prix disputés en Formule 1, celui de Monaco est incontestablement le plus prestigieux. Réputé pour être l’une des courses les plus difficiles au monde, avec son circuit tracé au cœur de la principauté (3340 km de long, quasi identique à celui de 1950), aux virages serrés et aux dépassements délicats et audacieux, le Grand Prix de Monaco occupe une place à part. De 1950 à 1965, le grand photographe irlandais, Edward Quinn, qui a vécu et travaillé sur la Côte d’Azur, a immortalisé ce que l’on peut considérer comme l’âge d’or de Monaco. Avec son regard acéré, son sens inné de l’objectif pour “capter l’instant”, il a su immortaliser toute l’atmosphère d’une équipe où Ferrari, Maserati, Brabham et Cooper dominaient outrageusement l’épreuve, où l’insouciance de l’époque n’imposait pas encore les glissières de sécurité (on y mettaient des ballots de paille) et où la rivalité entre pilotes n’excluait pas la franche camaraderie.

GRAND PRIX DE MONACO
l’âge d’or, 1950-1965

Edward Quinn

 

240  pages.
Editions Glénat

Grand-Prix-de-Monaco-1-Lunettes-Galerie-c-Ed-Glena

© DR Ed Glénat

A travers ses 275 clichés inédits, c’est l’agitation des spectateurs au bord de la piste, le travail acharné des mécanos dans les stands, jusqu’aux mondanités des célébrités de l’époque côtoyant des pilotes aussi mythiques que Juan Manuel Fangio, Alberto Ascari, Maurice Trintignant, Jim Clark ou Stirling Moss…, qu’il nous fait découvrir ici. Telle la Princesse Grace, découvrant la course en 1957. Un sublime voyage, à remonter le temps ! 

Grand-Prix-de-Monaco-2-Lunettes-Galerie-c-Ed-Glenat

© DR Ed Glénat

Grand-Prix-de-Monaco-3-Lunettes-Galerie-c-Ed-Glenat

© DR Ed Glénat

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Caillebotte l’observateur de la modernité

  En photo : Affiche de l’exposition Caillebotte l’observateur de la modernité  //  Balcon [Un balcon, boulevard Haussmann], vers 1880. Huile sur toile, 69 x 62 cm. Collection particulière. © Photo Josse

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Couveture-Kate-Moss-by-Mario-Testino-Vig-c-Ed-Taschen

Duo de légende, l’hommage de Mario Testino à sa muse

En photo : couverture Kate Moss by Mario Testino © Ed Taschen // Extrait du livre ©DR Taschen

Couveture-Kate-Moss-by-Mario-Testino

Kate Moss + Mario Testino, c’est une amitié à toute épreuve, une complicité éprouvée depuis plus de vingt ans entre le photographe de mode le plus renommé de sa génération et la plus célèbre top-modèle au monde, alias “la brindille”. Un hommage du grand Mario Testino à sa muse, celle qui a charmé ses yeux par sa beauté, son humour et son esprit. Un duo très créatif aussi dans leur travail. Premiers shootings des débuts de Kate, coulisses des défilés, making-of des pubs qui ont fait le tour du monde : plus de 100 clichés incroyables publiés pour la 1ère fois, parmi les archives très personnelles de Testino. C’est chic, inspirant, sexy en diable et parfois provocateur, comme on aime ! Quel talent, ces deux-là !

Kate Moss by Mario Testino

Mario Testino

 

230  pages.
Editions Taschen (taschen.com)

Kate-Moss-by-Mario-Testino-4-Lunettes-Galerie-c-Ed-Taschen

© DR Taschen

Kate-Moss-by-Mario-Testino-5-Lunettes-Galerie-c-Ed-Taschen

© DR Taschen

Kate-Moss-by-Mario-Testino-3-Lunettes-Galerie-c-Ed-Taschen-

© DR Taschen

Kate-Moss-by-Mario-Testino-1-Lunettes-Galerie-c-Ed-Taschen

© DR Taschen

Kate-Moss-by-Mario-Testino-2-Lunettes-Galerie-c-Ed-Taschen

© DR Taschen

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Caillebotte l’observateur de la modernité

  En photo : Affiche de l’exposition Caillebotte l’observateur de la modernité  //  Balcon [Un balcon, boulevard Haussmann], vers 1880. Huile sur toile, 69 x 62 cm. Collection particulière. © Photo Josse

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Kering-de-granit-et-de-reves-c-Ed-Flammarion-Vig

L’épopée de la famille Pinault en livre

En photo : KERING, de granit et de rêves. Tristan Gaston-Breton © Ed Flammarion

// Siège de Kering, 40 rue de Sèvres © DR

Couverture-Kering-de-granit-et-de-reves-c-Ed-Flammarion

Une success story à la française ! Depuis la création de l’entreprise de négoce de bois en 1962 par François Pinault jusqu’au groupe de luxe mondial, voilà l’histoire de la famille Pinault, indissociable de la réussite extraordinaire qu’elle a bâtie depuis plus de 60 ans, racontée ici. Anticipant les évolutions économiques et sociétales, le groupe n’a cessé de démontrer qu’audace et imagination constituaient le moteur de son développement. L’identité de Kering est le fruit de cette histoire singulière, qui se lit d’ailleurs comme un roman, naissant dans les paysages de granit de Bretagne d’où est originaire son fondateur. Publié à l’occasion des 10 ans de l’adoption du nouveau nom de Kering, ce récit documenté d’archives, d’entretiens et de textes originaux, donne la parole à des personnalités proches telles qu’Anna Wintour, Jean-Jacques Aillagon, Mercedes Erra, Jane Fonda, Alain Minc… On y découvre aussi en images, les sublimes Maisons du groupe. Exceptionnel et inédit !

KERING, de granit et de rêves.

Tristan Gaston-Breton

312 pages.
Ed Flammarion (editions.flammarion.com)

En 2016, Kering installe son siège dans l’ancien hôpital Laennec, 40 rue de Sèvres, au terme d’une ambitieuse réhabilitation. « Élire domicile ici relève d’une revendication de nos racines parisiennes et françaises. Nous avons pris le nom de Kering et, en breton, ker signifie foyer, lieu de vie. Désormais, nous possédons aussi une maison. Ce lieu nous ressemble dans sa singularité et dans son audace. C’est le lieu d’un luxe différent et libre de ses choix » François-Henri Pinault. ©DR

Maison-Emblematique-Kering-40-rus-de-sevres-Lunettes-galerie

 Siège de Kering de nuit, 40 rue de Sèvres © DR 

Maison-Emblematique-Kering-Lunettes-galerie

 Siège de Kering, 40 rue de Sèvres © DR 

Maisons emblématiques.

Kering, réalisant désormais 100% de son chiffre d’affaires dans le Luxe, est présent dans les grands métiers du secteur : mode, maroquinerie, joaillerie, lunetterie et beauté – à travers des Maisons fortes d’une histoire, d’un patrimoine et d’une vitalité : Gucci, Saint Laurent, Bottega Veneta, Balenciaga, Alexander McQueen, Brioni, Boucheron, Pomellato, DoDo, Qeelin, Ginori 1735, Kering Beauté et Kering Eyewear.

Francois-Henri-Pinault-et-Francois-Pinault-c-Olivier-Borde

De père en fils, les Pinault incarnent le Groupe : François-Henri Pinault et François Pinault à Laennec, le siège de Kering. © Olivier Borde.

« 2023 nous invite à considérer le chemin parcouru et à porter le regard vers ce que nous voulons bâtir : un Luxe toujours plus créatif et novateur, profondément ancré dans ses savoir-faire et ses racines, conscient de ses responsabilités et qui avance avec lucidité, un Luxe qui prenne toute sa part dans les questions qui se posent aujourd’hui pour notre avenir à tous. »

François-Henri Pinault

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Caillebotte l’observateur de la modernité

  En photo : Affiche de l’exposition Caillebotte l’observateur de la modernité  //  Balcon [Un balcon, boulevard Haussmann], vers 1880. Huile sur toile, 69 x 62 cm. Collection particulière. © Photo Josse

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Couverture-Us-and-Them-Vig©-Ed-Taschen

us and them, une histoire d’amour photographique

En photo : couverture us and them, Helmut Newton & Alice Spring © Ed Taschen // Extrait du livre us and them ©DR Taschen

 

Couverture-Us-and-Them-©-Ed-Taschen

C’est un légendaire projet commun, une histoire d’amour racontant en images cinquante-cinq années de collaboration et de dialogue entre Helmut et June Newton (alias Alice Spring), photographes tous deux les plus influents de leur époque. Dans la 1ère partie du livre, ce sont des portraits personnels et intimes loin des projecteurs, un “journal en images” qu’ils ont pris l’un de l’autre pendant plusieurs décennies. Dans la 2de, c’est une galerie de portraits saisissants de célébrités, figures de la jet-set ou de la culture, de visages les plus connus de chaque époque (Catherine Deneuve, Anjelica Huston, David Hockney, Gianni Versace, Yves Saint Laurent, Thierry Mugler, Jane Birkin ou Charlotte Rampling…). Des portraits réalisés au cours de plusieurs séances présentées ici, par paires, afin de montrer les facettes d’une même personnalité. C’est beau, sublime, intense : un livre à (s’)offrir !

us and them

Helmut Newton & Alice Spring

 

192 pages.
Ed Taschen (taschen.com)

Extrait-1-Us-and-Them-©-Ed-Taschen

© DR Taschen

Extrait-4-Us-and-Them-©-Ed-Taschen

© DR Taschen

Extrait-5-Us-and-Them-©-Ed-Taschen

© DR Taschen

Extrait-3-Us-and-Them-©-Ed-Taschen

© DR Taschen

Extrait-2-Us-and-Them-©-Ed-Taschen

© DR Taschen

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Caillebotte l’observateur de la modernité

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Photography-by-Francois-Duhamel-SKYFALL-©-2012-Danjaq-LLC-and-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-vig

Embarquez avec James Bond !

En photo :  Couverture James Bond Destinations © Ed Assouline

// Photography by Francois Duhamel; SKYFALL © 2012 Danjaq, LLC and Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc.

Couverture-James-Bond-Destination-c-Ed-Assouline

Quelle riche idée qu’une compilation des lieux où James Bond a sévi ! On se délecte à la lecture en découvrant notre intrépide 007 parcourant le monde. Alors que d’autres productions utilisent des scènes sonores tournées en studio, les décors des films de James Bond mettent en avant des lieux existants : en un peu plus de 60 ans, il y en a eu plus d’une centaine de filmés. Sur grand écran, Bond nous incite à rêver à des destinations exotiques, souvent lieux emblématiques de la jet-set ; chaque nouveau film étant un “guide” à lui seul. Le livre regorge d’anecdotes inconnues et de détails encore jamais dévoilés sur des scènes iconiques (comme celle du Grand Canal de Venise, partiellement fermé pour la 1ère fois en 300 ans afin de donner à Daniel Craig la chance de naviguer son yacht sur le canal sans une foule de spectateurs présents…). Barbara Broccoli, fille du producteur original de Bond, Albert Cuddy Broccoli, explique que son père « souhaitait emmener les spectateurs dans une autre vie, les transporter au sein d’une aventure et vers quelque chose de magique ». Pari gagné !

James Bond
Destinations

Texte de Daniel Pembrey. 328 pages, plus de 200 illustrations. 

Ed Assouline (assouline.com)

Photography-by-Bert-Cann-DR.-NO-©-1962-Danjaq-LLC-and-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc.-All-Rights-Reserved

Photography by Bert Cann; DR. NO 

© 1962 Danjaq, LLC and Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc.

Photography-by-Bob-Penn-THE-SPY-WHO-LOVED-ME-©-1977-Danjaq-LLC-and-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc.-All-Rights-Reserved

Photography by Bob Penn; THE SPY WHO LOVED ME
© 1977 Danjaq, LLC and Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc

Photography-by-Keith-Hamshere-FOR-YOUR-EYES-ONLY-©-1981-Danjaq-LLC-and-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc.

Photography by Keith Hamshere; FOR YOUR EYES ONLY © 1981 Danjaq, LLC and Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc.

Photography-by-Keith-Hamshere-FOR-YOUR-EYES-ONLY-©-1981-Danjaq-LLC-and-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc.-All-Rights-Reserved

Photography by Keith Hamshere; FOR YOUR EYES ONLY
© 1981 Danjaq, LLC and Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc

Photography-by-Keith-Hamshere-GOLDENEYE-©-1995-Danjaq-LLC-and-Seventeen-Leasing-Corporation.-All-Rights-Reserved

Photography by Keith Hamshere; GOLDENEYE
© 1995 Danjaq, LLC and Seventeen Leasing Corporation.

Photography-by-Francois-Duhamel-SKYFALL-©-2012-Danjaq-LLC-and-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc.-All-Rights-Reserved

Photography by Francois Duhamel; SKYFALL © 2012 Danjaq, LLC and Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc.

Photography-by-Jonathan-Olley-SPECTRE-©-2015-Danjaq-LLC-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc.-and-Columbia-Pictures-Industries-Inc.-All-Rights-Reserved

Photography by Jonathan Olley; SPECTRE © 2015 Danjaq, LLC, Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. and Columbia Pictures Industries, Inc.

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Caillebotte l’observateur de la modernité

  En photo : Affiche de l’exposition Caillebotte l’observateur de la modernité  //  Balcon [Un balcon, boulevard Haussmann], vers 1880. Huile sur toile, 69 x 62 cm. Collection particulière. © Photo Josse

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Eternelle Notre-Dame

 

En photo : couverture Notre-Dame de Paris Lorqu’une cathédrale renaît de ses cendres Jean-François Blondel ©Editions Dervy /  La stryge de Notre-Dame © Sylvain Sonnet

Notre-Dame de Paris Lorqu’une cathédrale renaît de ses cendres Jean-François Blondel ©Editions Dervy

Au centre de Paris, sa haute silhouette veille sur l’île de la Cité depuis plus de 850 ans. Pourtant, ce joyau de l’art gothique a traversé bien des heures sombres, en bon témoin de l’histoire de France, avec à son paroxysme le terrible incendie du 15 avril 2019. L’effroi a saisi le monde entier devant ces images du feu dévorant Notre-Dame de Paris. Très vite, l’émotion a laissé place à la détermination et la reconstruction à l’identique pour redonner vie à ce symbole. Un fol élan de solidarité rapportant un milliard d’euros pour la “grande brûlée”. Mois après mois, sur place et dans des ateliers partout en France, des femmes et des hommes, charpentiers, tailleurs de pierre, maîtres verriers, ainsi que tous les autres métiers d’art, ont rendu sa splendeur à ce chef d’œuvre… Historien de l’art et spécialiste du Moyen Âge, Jean François Blondel nous conte avec ferveur cette renaissance. C’est toute son histoire et ses aménagements successifs qu’il retrace, depuis celui imaginé par Maurice de Sully en 1160, baron Haussmann du Paris médiéval qui fit de Notre-Dame la plus grande cathédrale gothique en son temps, à la restauration complète par Viollet-le-Duc au XIXe siècle. De sa plume alerte, l’auteur nous relate aussi ce chantier de la “résurrection”, gageure établie en un temps record. Remarquable, passionnant, exaltant… jamais livre n’a aussi bien porté son titre !

La flèche disparaît sous les échafaudages lors de sa reconstruction en 2023
©Yonnel Ghernaouti

La charpente de la flèche étant terminée, on peut voir le « bouquet » qui apparaît à l’extrémité du chevet
©Yonnel Ghernaouti

Notre-Dame de Paris la nuit, avant l’incendie ©Jacques Monbeig

Au centre de Paris, sa haute silhouette veille sur l’île de la Cité depuis plus de 850 ans. Pourtant, ce joyau de l’art gothique a traversé bien des heures sombres, en bon témoin de l’histoire de France, avec à son paroxysme le terrible incendie du 15 avril 2019. L’effroi a saisi le monde entier devant ces images du feu dévorant Notre-Dame de Paris. Très vite, l’émotion a laissé place à la détermination et la reconstruction à l’identique pour redonner vie à ce symbole. Un fol élan de solidarité rapportant un milliard d’euros pour la “grande brûlée”. Mois après mois, sur place et dans des ateliers partout en France, des femmes et des hommes, charpentiers, tailleurs de pierre, maîtres verriers, ainsi que tous les autres métiers d’art, ont rendu sa splendeur à ce chef d’œuvre… Historien de l’art et spécialiste du Moyen Âge, Jean François Blondel nous conte avec ferveur cette renaissance. C’est toute son histoire et ses aménagements successifs qu’il retrace, depuis celui imaginé par Maurice de Sully en 1160, baron Haussmann du Paris médiéval qui fit de Notre-Dame la plus grande cathédrale gothique en son temps, à la restauration complète par Viollet-le-Duc au XIXe siècle. De sa plume alerte, l’auteur nous relate aussi ce chantier de la “résurrection”, gageure établie en un temps record. Remarquable, passionnant, exaltant… jamais livre n’a aussi bien porté son titre !

La stryge de Notre-Dame, oeuvre de Viollet-le-Duc, semble méditer devant le spectacle de Paris à ses pieds © Sylvain Sonnet

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