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Regard Culturel

Couverture-IC-Rolex-Vig-©-ed-assouline-©-Clive-Brunskill-Getty-Images

Rolex, la marque légendaire la plus convoitée au monde !

En photo : ROLEX : THE IMPOSSIBLE COLLECTION © Ed Assouline // Roger Federer, 2017 © Clive Brunskill/Getty Images

Couverture-IC-Rolex-©-ed-assouline
ROLEX : THE IMPOSSIBLE COLLECTION.

The 100 most exceptional watch models.

2e édition, texte Fabienne Reybaud,
196 pages, 200 illustrations

Ed Assouline (assouline.com)

Quintessence de la montre de luxe, signe ostentatoire de pouvoir, ou symbole culte du passage à l’âge adulte… Depuis toujours, Rolex passionne ! Preuve en est, la vente record de la Daytona de Paul Newman, vendue en 2017 aux enchères à New York pour 17,8 millions de dollars.

Les styles se succèdent ? La marque horlogère elle, ne change pas ! Et c’est la plus collectionnée au monde. En 1905, le jeune Wilsdorf fonde à Londres une société de distribution de montres, mais son rêve est de produire des montres-bracelets qui soient techniquement fiables et suprêmement élégantes. Cette quête de précision le conduit à concevoir la première montre-bracelet au monde à recevoir le certificat suisse de précision chronométrique, délivré par le Centre officiel de classification des montres de Bienne, en 1910. 4 ans plus tard, l’Observatoire de Kew, en Grande-Bretagne, décerne à une montre Rolex un certificat de classe A, distinction jusqu’alors exclusivement réservée aux chronomètres de marine. Depuis lors, la montre-bracelet Rolex est synonyme de précision. De la 1ère montre-bracelet des années 1900 à la 1ère Oyster Perpetual de 1931, en passant par l’Explorer (portée par Sir Hillary au sommet de l’Everest en 1953) et la Submariner, au poignet de James Bond, alias George Lazenby, dans le film Au service secret de Sa Majesté…les voilà toutes, précieuses, uniques, inédites, réunies dans cet ouvrage exceptionnel !

Rolex-Chronographe-6034-et-6238-Lunettes-Galerie-©-Harald-Gottschalk

Chronographe antimagnétique du début des années 1950,
réf. 6034, avec cadran « Tropical », ayant appartenu à Eric Clapton.
© Harald Gottschalk

1965 Chronographe, Réf. 6238, « Pre-Daytona ».
Il a été porté par l’acteur George Lazenby dans le rôle de James Bond dans le film de 1969 Au service secret de Sa Majesté.
© Harald Gottschalk

Rolex-Deep-Sea-Special-No1-Cosmographe-6269-Lunettes-Galerie-©-Christies-Bridgeman-Images

1953 Deep Sea Special No. 1, Prototype. Cette montre a été transportée à l’extérieur du bathyscaphe Trieste, qui est descendu à une profondeur de 3 150 mètres (10 335 pieds), un record à l’époque. © Christie’s/Bridgeman Images

Cosmograph Daytona 1985, Réf. 6269, « Jack of Diamonds ». ©Christie’s/Bridgeman Images

Rolex-Cosmograph-6239-Lunettes-Galerie-©-Harald-Gottschalk

Cosmograph Daytona 1966, Réf. 6239, « Paul Newman NASA ». Cette montre a appartenu à l’astronaute américain Walter Cunningham, pilote principal de la mission Apollo 7. © Harald Gottschalk

Roger-Federer-Lunettes-Galerie-©-Clive-Brunskill-Getty-Images

Roger Federer remporte l’Open d’Australie, 2017. © Clive Brunskill/Getty Images

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Couverture-James-Bond-Dr-No-Vig-©-Ed-Taschen-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

Dans les coulisses de l’intrépide James Bond 007 contre Dr. No

En photo : JAMES BOND Dr. NO © Ed Taschen // DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC.

Couverture-James-Bond-Dr-No-©-Ed-Taschen

C’est une captivante immersion dans la création de Bond et de son univers cinématographique, un livre qui se dévore tel un roman, raconté de l’intérieur par ceux qui ont vécu ce tournage ! Voici le récit complet des coulisses du premier film de la saga sorti en salles, James Bond 007 contre Dr No (1962), celui-là même qui a lancé sur les écrans du monde entier le personnage du plus célèbre agent secret britannique de sa Majesté, créé en 1953 par Ian Flemming. Il a été le héros de 25 films produits par EON, incarné par six acteurs sur plus de sept décennies. Pour que cette incroyable histoire soit racontée, EON Productions a ouvert à Taschen ses archives de photos, notes de travail, affiches, croquis et documents de tournage. Plus de 1007 images inédites nous invitent ainsi à un bond dans le passé en compagnie d’acteurs de prestige. De quoi rêver d’aventures, nous aussi !

JAMES BOND    Dr. NO

Paul Duncan
492 pages. Edition d’Art (numérotée de 251 à 500)
et Edition collector numérotée (No 501-1.962).

Ed Taschen
(taschen.com)

James-Bond-Sean-Connery-2-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC

Sean Connery n’a pas passé d’audition pour Dr. No, mais il a posé pour des photos, habillé en James Bond. Celles-ci ont été présentées par le producteur Cubby Broccoli aux dirigeants d’United Artists pour qu’ils les examinent.

James-Bond-Sean-Connery-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC-

James Bond (Sean Connery) maîtrise Quarrel et PussFeller, puis les tient en joue.
DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC.

James-Bond-Ursula-Andress-Lunettes-Galerie-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

Ursula Andress habillée en Honey Ryder en Jamaïque.
DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC

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Tatiana-Nikiforova-PE-1996-©-YSL-©-Guy-Marineau-©-Estate-JeanLoup-Sieff ©musée yves saint laurent paris

Yves Saint Laurent en toute transparence !

En photo : Yves Saint Laurent : transparences © Musée Yves Saint Laurent Paris // Collection haute couture Printemps-été 1996 © Yves Saint Laurent © Guy Marineau © Estate Jeanloup Sieff

Affiche-Exposition-Yves-Saint-Laurent-Transparences-Musee-Yves-Saint-Laurent-Lunettes-Galerie
YVES SAINT LAURENT : TRANSPARENCES

Le pouvoir des matières

Jusqu’au 25 août 2024

Musée Yves Saint Laurent Paris, 5, avenue Marceau, 75116 Paris
museeyslparis.com

C’est la suite d’un récit entamé l’été dernier à la Cité de la dentelle et de la mode de Calais, et présenté ici à Paris, au Musée Yves Saint Laurent. Si la transparence est, en théorie, incompatible avec la fonction même du vêtement, censé revêtir le corps, le dissimuler ou le protéger, Yves Saint Laurent a lui toujours été attiré par cette contradiction. Dès les années 1960, le couturier s’empare des matières comme l’organza, la Cigaline®, la dentelle, le tulle ou encore la volatile mousseline qu’il associe avec talent à des broderies, plumes ou autres tissus. Avec audace et pendant quarante années de création, il réconcilie les antagonismes permettant aux femmes d’affirmer leur corps avec fierté, liberté et insolence : « les transparences, je les connais depuis longtemps. L’important, avec elles, c’est de garder le mystère…. Je pense avoir fait le maximum pour l’ émancipation des femmes. J’ai créé des vêtements qui entrent tout à fait à leur aise dans le XXIe siècle ». Parmi la quarantaine de pièces exposées, on admire des créations iconiques de l’histoire de la révélation du corps féminin chez YSL, comme la première blouse seins nus, baptisée par la presse américaine la See Through Blouse (Chemisier transparent, en français) du printemps–été 1968 ou la Nude Dress (Robe nue), une robe de mousseline noire ceinturée de plumes d’autruches. Croquis, patrons, photos, accessoires… mais aussi une série de dessins inspirés par les peintures de Goya, rappellent le travail exploratoire et subtil du couturier. En résonance à ses créations, ce sont également de sublimes œuvres d’artistes modernes et contemporains (Anne Bourse, Man Ray, Picabia…) qui ponctuent le parcours de cette exposition. Assurément… suggestive et éblouissante ! 

Tatiana-Nikiforova-PE-1996-©-YSL-©-Guy-Marineau-©-Estate-JeanLoup-Sieff

Robe de soir. Portée par Tatiana Nikiforova.
Collection haute couture Printemps-été 1996.
© Yves Saint Laurent © Guy Marineau © Estate Jeanloup Sieff

Croquis-robe-du-soir-AH-1970-©-Yves-Saint-Laurent

Croquis original d’une robe de soir.
Collection haute couture automne-hiver 1970.
© Yves Saint Laurent

Danielle-Luquet-AH1968-©-YSL-©-Peter-Caine

Robe de soir. Portée par Danielle Luquet de Saint Germain.
Collection haute couture automne-hiver 1968. Photographie de Peter Caine. ©Yves Saint Laurent. © Peter Caine (Sydney)

Ode à la fluidité !

Dans les ateliers de couture dits « flous », en opposition à ceux des « tailleurs », la transparence donne toute liberté au corps, lui permettant de se mouvoir sans contrainte. Elle révèle les lignes de construction d’un vêtement (avec l’organdi notamment) permettant de structurer le corps, à l’instar des patrons sur calque présentés ici pour la 1ère fois. Plusieurs silhouettes de mariées avec leurs voiles de tulle ou de dentelle, constamment réinventés par YSL, clôturent en beauté l’exposition. Ce dernier aimait en effet donner une touche finale souvent anticonformiste à ses fins de défilé.

« La haute couture,
c’est la matière […] »

Yves Saint Laurent (Le Monde, 1983)

Yves-Saint-Laurent-nu-©-Estate-JeanLoup-Sieff

Portrait nu d’Yves Saint Laurent pour la publicité
de sa première eau de toilette pour homme, Paris, 1971.
Photographie de Jeanloup Sieff © Estate Jeanloup Sieff

Smoking-Danielle-Luquet-NUM_HC1968E031PH01-©-Yves-Saint-Laurent-©-Peter-Caine

Smoking. Porté par Danielle Luquet de Saint Germain.
Collection haute couture printemps-été 1968. Photographie de Peter Caine. ©Yves Saint Laurent © Peter Caine (Sydney)

Mayaan-Keret-AH-1994-©-Yves-Saint-Laurent-©-Guy-Marineau

Robe de mariée. Portée par Mayaan Keret,
collection SAINT LAURENT rive gauche automne-hiver 1994.
© Yves Saint Laurent © Guy Marineau

La dentelle,

permet à YSL de dévoiler avec subtilité, le corps de la femme. Une poitrine, une hanche, le haut ou le bas du dos sont tour à tour découverts donnant à la femme de l’assurance, voire une certaine provocation. Les dentelles visibles sur les tableaux de Francisco de Goya (1746-1828) ont directement inspiré le couturier qui les reprend dans ses carnets à dessins dans les années 1960, puis dans ses collections au début des années 1970 ou en 1981

Transparences-HC-AH1970-Retrospective-Pompidou-©-Yves-Saint-Laurent-©-Guy-Marineau03

Robe de soir. Portée par Nina Heimlich.
Collection haute couture automne-hiver 1970. Dernier défilé.
Centre Pompidou, Paris, 22 janvier 2002.
© Yves Saint Laurent © Guy Marineau. 

YSL-et-Vesna-Laufer-©-Pierre-Boulat-Ass-Pierre-et-Alexandre-Boulat

Yves Saint Laurent et Vesna Laufer. Lors de
la préparation de la collection haute couture automne-hiver 1974,
5 avenue Marceau, Paris, juillet 1974, photographie de Pierre Boulat.
© Pierre Boulat /Ass. Pierre & Alexandra Boulat

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Couverture-Benetti-Lunettes-Galerie-Vig-c-Ed-Assouline

L’art suprême du nautisme… signé Benetti

En photo : BENETTI © Ed Assouline // ©Tom Van Oossanen

Couverture-Benetti-c-Ed-Assouline

BENETTI

Texte Kevin Koening
292 pages (plus de 200 illustrations)

Huile sur toile 93,3 x 111,5 cm Washington, The National Gallery of Art,

Ed Assouline (assouline.com)

C’est un livre anniversaire, hommage à la marque, mais surtout aux extraordinaires navires que le groupe Benetti a imaginés. Pour lui, la réalisation des rêves n’est pas une nouveauté, c’est un mode de vie pour ce constructeur qui œuvre depuis 150 ans. Avec plus de 400 yachts construits à ce jour, Benetti est un pionnier de la construction nautique et incarne LA référence de construction navale. Ce qui a débuté comme des voiliers en bois pour des pêcheurs s’est transformé en yachts à vapeur avant de devenir des giga-yachts à la pointe de la technologie, fleurons de l’’innovation. Du El Caran de David Bowie au Delfino de 18 mètres (considéré comme le 1er yacht de luxe au monde) et l’IJE de 108 mètres (le plus grand jamais créé par Benetti), voilà mis en lumière sa clientèle exclusive (dont Zlatan Ibrahimović), les artisans et designers de la marque. Son histoire montre son engagement en faveur de la durabilité et son dévouement à l’innovation. Une liberté et une passion au service d’une créativité sans limite ! 

Benetti-Lunettes-Galerie-©-Jeff-Brown_Breed-Media

© Jeff Brown / Breed Media

Benetti-Lunettes-Galerie-©-Alessandro-Guerrieri

© Alessandro Guerrieri

© Breed Media

Benetti-Lunettes-Galerie©-Tom-Van-Oossanen

©Tom Van Oossanen

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Affiche-Vig©-Fondation-Jardin-Majorelle-Photo-Nicolas

Enchanteur jardin majorelle !

En photo : 100th Anniversary jardin majorelle © DR //  © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

Affiche-du-centenaire-Jardin-Majorelle-c-DR.jpg

Affiche du centenaire du jardin majorelle © DR

100 ans, le bel anniversaire ! Une magnifique occasion de (re)découvrir cet endroit hors du temps, l’un des plus célèbres au monde. Car flâner dans ses verdoyantes allées est un enchantement. Sur plus d’un hectare de terrain, en plein cœur de Marrakech, dans le quartier Guéliz, au nord-ouest de la Médina, poussent ici plus de 300 espèces des plus incroyables variétés de plantes et d’arbres, dénichées par son propriétaire et créateur, Jacques Majorelle. 

Majestueux cactus, yuccas, nénuphars, nymphéas, jasmins, bougainvillées, palmiers, cocotiers et bambous… font le bonheur des visiteurs. Un tableau végétal luxuriant, à ciel ouvert, avec ses centaines d’oiseaux roucoulants dans les arbres. « D’une force rare, il est unique en son genre, décrit Madison Cox, le célèbre jardinier-paysagiste américain, veuf de Pierre Bergé et aujourd’hui président de la fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent, qui a redonné ses lettres de noblesse à ce havre. Comme Claude Monet, Majorelle fut l’un des plus grands collectionneurs de végétaux de son époque et son jardin lui servit de toile de fond pour ses tableaux. Tout comme Monet, toujours à l’affût de nouvelles plantes, Majorelle finança des expéditions botaniques. Important de nombreuses variétés d’essences rares, il correspondait avec d’autres collectionneurs et avec les jardins botaniques du monde entier… »

À la demande de Pierre Bergé et d’Yves Saint Laurent, la roseraie d’antan a aujourd’hui fait place à un sublime jardin d’agrumes, pour des questions d’économies d’eau, tout comme le gazon remplacé par du joli gravier rose, en hommage aux couleurs de Marrakech : un bel exemple aussi de préservation de l’environnement ! 

FONDATION JARDIN MAJORELLE

Ouvert tous les jours

Rue Yves Saint Laurent, Guéliz, 40090 Marrakech, Maroc.
jardinmajorelle.com

L’HISTOIRE

En 1917, le peintre orientaliste français Jacques Majorelle (1886-1962), fils du célèbre ébéniste Art Nouveau, Louis Majorelle, découvre le Maroc et décide de s’installer en 1919 dans la médina de Marrakech, alors sous protectorat français. En 1923, il achète une importante palmeraie en bordure de celle de Marrakech (qui deviendra le Jardin Majorelle que nous connaissons aujourd’hui) et fait construire sept ans plus tard la Villa Bousafsaf d’architecture classique marocaine. Yves Saint Laurent et Pierre Bergé, qui l’acquièrent en 1980, la rebaptiseront Villa Oasis. 

En 1931, Majorelle fait appel à l’architecte français Paul Sinoir pour construire son atelier de style Art déco d’une étonnante modernité, qu’il personnalisera du “bleu Majorelle” : une habitation au 1er étage et un vaste atelier d’artiste au rez-de-chaussée pour peindre ses immenses décors. Amoureux de botanique, il crée son jardin en plusieurs ambiances variées, autour de sa villa, le long du bassin central. À partir de 1947, il décide de l’ouvrir au public. A la suite d’un accident de voiture, Majorelle est rapatrié à Paris où il décède en 1962. Le jardin est alors laissé à l’abandon. C’est en 1980 que Pierre Bergé et YSL en font l’acquisition pour le sauver d’un projet immobilier et lui redonner vie. Après le décès d’YSL en 2008, Pierre Bergé fait don du jardin à la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent. C’est alors qu’est créée la Fondation Jardin Majorelle. A l’occasion des 100 ans du Jardin Majorelle, des festivités et événements culturels ponctueront l’année pour le plaisir des Marrakchis et des visiteurs. 

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 © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

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 Pierre Bergé et Yves Saint Laurent, Marrakech, fin des années 1960 © DR Musée Yves Saint Laurent Paris

Bleu-majorelle-Lunettes-Galerie

En 1937, l’artiste Jacques Majorelle crée
un bleu outremer à la fois intense et clair :
le bleu Majorelle, dont il teinte son jardin qu’il ouvre au public en 1947.

Bleu-majorelle-Lunettes-Galerie

EN VISITE !

Au sein du sublime Jardin, vous découvrirez aussi… Le mémorial Yves Saint Laurent (une colonne romaine trouvée sur la plage de Tanger) érigé à la mémoire du couturier, disparu le 1er juin 2008. « C’est la manière qu’ont les artistes de ne pas mourir tout à fait » aimait à dire Pierre Bergé. Mais aussi, situé dans l’ancien atelier de Jacques Majorelle, le Musée Pierre Bergé des arts berbères : un panorama de l’extraordinaire créativité de ce peuple à la culture toujours bien vivante, le plus ancien de l’Afrique du Nord avec plus de 600 objets (bijoux, armes, cuirs, vanneries, tissages, tapis). Une merveille ! Découvrez également la sublime librairie dont une section est consacrée à la mode, la boutique et son riche artisanat marocain, et le Café Majorelle (ou Café Bousafsaf), avec sa jolie cour extérieure ombragée sous les orangers et les bougainvillées blancs. Dépaysement garanti !

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 © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

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Expo-Impressionnisme---Lunettes-Galerie--Pano---Vue-du-petit-port-de-Lorient---Berthe-Morisot---c-Image-Courtesy-of-the-National-Gallery-of-Art-Washington

1874 – 2024, le musée d’Orsay célèbre les 150 ans de l’impressionnisme

En photo : Berthe Morisot, Vue du petit port de Lorient 1869 © Image Courtesy of the National Gallery of Art, Washington

Édouard Manet (1832-1883) Le Chemin de fer 1873.
Huile sur toile 93,3 x 111,5 cm Washington, The National Gallery of Art,
don de Horace Havemeyer en mémoire de sa mère, Louisine W. Havemeyer 1956.10.1 © Photo Courtesy of National Gallery of Art, Washington

Il y a 150 ans, le 15 avril 1874, ouvrait à Paris la première exposition impressionniste. Un groupe d’artistes de tous horizons, parmi lesquels Monet, Renoir, Degas, Morisot, Pissarro, Sisley ou encore Cézanne, décident de s’affranchir des règles et des parcours établis en organisant une exposition indépendante : ainsi naît l’impressionnisme. Le musée d’Orsay, qui abrite aujourd’hui la plus vaste collection au monde d’œuvres de ce mouvement, célèbre cet anniversaire en invitant le public à se replonger dans cette exposition qui changea à jamais le cours de l’histoire de l’art. 130 œuvres des plus magnifiques seront ainsi à contempler, comme notamment Impression, soleil levant de Claude Monet, dont le titre même inspira le terme d’« impressionniste » —une moquerie de journaliste qui finira par donner son nom à ce mouvement artistique et sceller son succès. 

Paris 1874
Inventer l’impressionnisme

Jusqu’au 14 juillet 2024

Musée d’Orsay. Esplanade Valéry Giscard d’Estaing, 75007 Paris.
musee-orsay.fr

Les-Coquelicots-de-Monet-c-RMN-Grand-Palais-Herve-Lewandowski

Claude Monet. Coquelicots 1873.
Huile sur toile. 50 x 65,3 cm. Paris, Musée d’Orsay. © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski 

Bal-du-moulin-de-la-Galette-Auguste-Renoir-c-RMN-Grand-Palais-Patrice-Schmidt-

Auguste Renoir. Bal du moulin de la Galette 1876.
Huile sur toile 131,5 x 176,5 cm Paris, Musée d’Orsay. © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt

Vue-du-petit-port-de-Lorient-Berthe-Morisot-c-Image-Courtesy-of-the-National-Gallery-of-Art-Washington

Berthe Morisot (1841-1895) Vue du petit port de Lorient 1869.
Huile sur toile 43,5 x 73 cm Washington, The National Gallery of Art, Ailsa Mellon Bruce Collection, 1970.17.48.
© Image Courtesy of the National Gallery of Art, Washington

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Couverture-Dolce-Vita-Lunettes-Galerie-Vig-c-Ed-Assouline

À l’heure de la Dolce Vita

En photo : couverture DOLCE VITA© Ed Assouline // © Alfonso Della Corte

Couverture-Dolce-Vita-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

Une attitude, une esthétique, une ambiance… Bien plus qu’un simple concept, la dolce vita est un style de vie. Mode de vie typiquement italien, elle se popularise au cours des années 1960, avec la sortie du film du même nom de Federico Fellini. Six décennies plus tard, la dolce vita fait toujours parler d’elle, donnant à l’Italie un charme unique, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. De Ferdinando Scianna à Bruno Barbey, de nombreux photographes ont capturé son esprit, immortalisant sur leurs clichés cet esprit italien, de Rome, en passant par Naples et la Sicile. Ces pages sont aussi remplies de personnages inoubliables comme Maria Callas, Sophia Loren et Marcello Mastroianni. Un voyage épicurien à la découverte de l’Italie… comme on les aime ! 

DOLCE VITA

Texte de Cesare Cunaccia, 320  pages

Editions Assouline (assouline.com)

Dolce-Vita-4-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline © Matt Jones

© Matt Jones

Dolce-Vita-6-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

© Arthur Elgort

Dolce-Vita-2-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

©  Eleonora d’Angelo

Dolce-Vita-Marcello-Mastroianni-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline-c-Farabola-Bridgeman-images.

© Farabola

Dolce-Vita-7-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

© Alfonso Della Corte

Dolce-Vita-1-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

© Victor Maschek

Dolce-Vita-3-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline

© Oliver Pilcher

Dolce-Vita-4-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline-c-Onairda-Getty-Images

© onairda

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Pour profiter, paresser, farnienter… nos jardins, terrasses, balcons et pergolas se transforment en véritables lieux de vie. Voici 3 exercices de style qui ne manquent pas d’inspiration pour rehausser le

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Mode & lifestyle
Carine Bruet

Avoir la forme

Pour vibrer au diapason des compétitions, et rester nous aussi dans la course, voici des lunettes pratiques et pensées pour toutes nos activités, et si légères. On aime leurs lignes,

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Regard de braise

L’été est SHOW ! Leçon de séduction… Déclarer sa flamme. Yeux dans les yeux. Caresser du regard. Couver des yeux. Trouver grâce à ses yeux. Cajoler du regard. Être tape-à-l’œil…

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Carine Bruet

©Courtesy of Burberry

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Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Ed-Assouline

Visite privée de l’Eden Rock St Barths

En photo : couverture Eden Rock St Barths © Ed Assouline // © Romain Réglade

Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Ed-Assouline

Pour fêter les beaux jours, nous partons en visite ! Dans l’un des hôtels les plus emblématiques du monde et qui fête cette année son 70e anniversaire. Il date du milieu des années 1940, lorsque l’aviateur et aventurier franco-néerlandais Rémy de Haenen découvre à l’époque ce grand promontoire rocheux s’avançant vers la mer, alors qu’il atterrissait (il fut le premier à le faire) sur la plage de l’île vierge de Saint-Barthélemy, dans la mer des Caraïbes, au nord des petites Antilles. En 1953, ce dernier décide de transformer la maison qu’il avait construite en chambre d’hôtes la plus exclusive du monde : l’Eden Rock était né. L’hôtel est aujourd’hui une référence en matière d’hospitalité mondiale, summum du luxe avec son service inégalé et sa gastronomie de haut vol, mais se distingue aussi pour son esprit décontracté. De l’emblématique Bar Rémy à la villa privée Rockstar, chaque espace est unique et fait vivre à ses hôtes une expérience caribéenne sur mesure. Sable blanc, eaux cristallines, paysages colorés de l’île…, lâchez prise et rêvez au fil des pages ! 

EDEN ROCK ST BARTHS

160  pages, 140 illustrations

Editions Assouline (assouline.com)

Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Noe-DeWitt

Profitez d’une voie d’accès au paradis des Caraïbes
© Noe DeWitt

Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Jeanne-Le-Menn

La plus belle plage de l’Eden Rock
© Jeanne Le Menn

Eden-Rock-2-Lunettes-Galerie-©-Romain-Reglade

Le dernier décollage de la journée à l’heure d’or © Romain Réglade

Eden-Rock-2-Lunettes-Galerie-©-Jeanne-Le-Menn

La suite Signature Christophe Colomb offre une salle de bain ouverte et une vue à 360° des environs
© Jeanne Le Menn

Eden-Rock-Lunettes-Galerie-©-Romain-Reglade

La terrasse de l’unique Premium Suite Fregate © Romain Réglade

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Design-et-sport-musee-du-luxembourg-Lunettes-galerie-Vig-c-jo-soppa-SIRS

Design & Sport à l’honneur, quel match !

En photo : Luigi Colani & Fritz Egli. Egli-Colani MRD-1 Motorcycle, 1986. © Jo Soppa/SIRS

Pierre-Coubertin-Original-drawning-Olympic-logo-Lunettes-Galerie-c-collection-privee

Pierre Coubertin, original drawing Olympic logo, 1913.
Graphite et gouache sur carte, 21 x 27,5 cm © collection privée

On apprend ici comment les choses ont été conçues dans l’histoire et comment les technologies avancées et la fabrication numérique conduisent à abandonner les modèles standardisés au profit d’équipements personnalisés. Dans les décennies à venir, disent les experts, les moyens d’améliorer les performances d’un sportif reposeront moins sur les innovations matérielles que sur la collecte et l’analyse de données, qui seront exploitées par les sportifs eux-mêmes et par l’industrie du sport de demain. Quel défi !

150 objets exposés, pièces historiques et uniques, icônes emblématiques, prototypes, dessins, films…, qui (dé)montrent l’étroite relation entre sport et design. Le design initie ou entraîne des changements fondamentaux dans le domaine du sport, tout comme la technologie améliore les capacités humaines et en compense ses éventuelles déficiences. « Tout au long de l’histoire du sport, le design a permis de créer des produits plus légers, plus sûrs, plus résistants et plus performants, pour les sportifs professionnels comme pour les amateurs. Il a également favorisé l’inclusivité, grâce au développement de prothèses et à la création de jeux virtuels comme l’eSport. Cependant, si le design fait progresser le sport par la technologie, l’inverse est également vrai : les sportifs veulent un équipement qui soit beau et agréable à porter (…), qui leur donne confiance en eux », explique Konstantin Grcic, designer et commissaire de l’exposition.

MATCH : Design et Sport
une histoire tournée vers le futur

 

Jusqu’au 11 août 2024

Musée du Luxembourg, 19 rue de Vaugirard, 75006 Paris
museeduluxembourg.fr

Bamboo-Bicycle-Lunettes-Galerie-c-Bamboo-bicycle-Club-Team
Home-Build-Kit-Bamboo-Bicycle-c-Bamboo-bicycle-Club-Team

Bamboo Bicycle Club, bicyclette en bambou en kit
© Bamboo Bicycle Club Team

Hermes-Selle-Faubourg-SHow-Jumping-Lunettes-Galerie-c-Hermes

Selle Faubourg saut d’obstacles 2023.
© Hermes © Studio des fleurs

Paralympic-Rugby-Wheel-Chair-Lunettes-Galerie-c-ottobock

Paralympic Rugby Wheel Chair
© ottobock

Luigi-Colani-Motorcycle-Lunettes-Galerie-c-Jo-Soppa

Luigi Colani & Fritz Egli. Egli-Colani MRD-1 Motorcycle, 1986. © Jo Soppa/SIRS

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Grand-Prix-de-Monaco-Lunettes-Galerie-Vig-c-Ed-Glenat

Monaco, une plongée au cœur du plus prestigieux Grand Prix de Formule 1 !

En photo : couverture Grand Prix de Monaco, l’âge d’or © Ed Glénat // Extrait du livre © Ed Glénat

Couverture-Grand-Prix-de-Monaco-Lunettes-Galerie-c-Ed-Glenat

Le 81e Grand Prix de Monaco se tiendra en Principauté,
du 23 au 26 mai 2024.

Voilà un livre qui ravira fans et passionnés de sport automobile. De tous les Grands Prix disputés en Formule 1, celui de Monaco est incontestablement le plus prestigieux. Réputé pour être l’une des courses les plus difficiles au monde, avec son circuit tracé au cœur de la principauté (3340 km de long, quasi identique à celui de 1950), aux virages serrés et aux dépassements délicats et audacieux, le Grand Prix de Monaco occupe une place à part. De 1950 à 1965, le grand photographe irlandais, Edward Quinn, qui a vécu et travaillé sur la Côte d’Azur, a immortalisé ce que l’on peut considérer comme l’âge d’or de Monaco. Avec son regard acéré, son sens inné de l’objectif pour “capter l’instant”, il a su immortaliser toute l’atmosphère d’une équipe où Ferrari, Maserati, Brabham et Cooper dominaient outrageusement l’épreuve, où l’insouciance de l’époque n’imposait pas encore les glissières de sécurité (on y mettaient des ballots de paille) et où la rivalité entre pilotes n’excluait pas la franche camaraderie.

GRAND PRIX DE MONACO
l’âge d’or, 1950-1965

Edward Quinn

 

240  pages.
Editions Glénat

Grand-Prix-de-Monaco-1-Lunettes-Galerie-c-Ed-Glena

© DR Ed Glénat

A travers ses 275 clichés inédits, c’est l’agitation des spectateurs au bord de la piste, le travail acharné des mécanos dans les stands, jusqu’aux mondanités des célébrités de l’époque côtoyant des pilotes aussi mythiques que Juan Manuel Fangio, Alberto Ascari, Maurice Trintignant, Jim Clark ou Stirling Moss…, qu’il nous fait découvrir ici. Telle la Princesse Grace, découvrant la course en 1957. Un sublime voyage, à remonter le temps ! 

Grand-Prix-de-Monaco-2-Lunettes-Galerie-c-Ed-Glenat

© DR Ed Glénat

Grand-Prix-de-Monaco-3-Lunettes-Galerie-c-Ed-Glenat

© DR Ed Glénat

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