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Regard Culturel

Ferrari

Epoustouflantes Ferrari

 En couverture : Toutes les Ferrari, Serge Bellu. 448 pages, 900 photographies. Editions Glénat (glenat.com) © DR / Photo : John Surtees au départ du Grand Prix de Solitude, hors championnat, au volant de la 158 F1. ©Grand Tourisme S.A.S

Toutes les Ferrari, Serge Bellu. 448 pages, 900 photographies. Editions Glénat (glenat.com) © DR

Toutes les Ferrari… le titre est aussi simple que ce livre est, unique ! Voici tous les modèles de 1947 à nos jours, enfin réunis. Une bible pour les amoureux du cheval cabré (l’iconique emblème de la marque) et pour tous les passionnés de bolides. Jamais recueil n’avait été publié faisant l’inventaire exhaustif de tous les modèles ayant été certifiés par Ferrari depuis sa création en 1947, des plus iconiques comme la 250 GTO, la Dino 246 GT, la 330 P4, la F40 ou la Ferrari Enzo, aux plus méconnus comme la Sigma ou encore la Ferrarina. À son sommaire ? Plus de 600 modèles et versions spéciales : les voitures de tourisme, série régulière et limitée, avec un recensement de toutes les versions et de toutes les carrosseries ; les voitures de compétition, prototypes comme modèles de grand tourisme, avec leurs évolutions et transformations. Mais aussi, les monoplaces de Formule 1 et 2, et leurs adaptations pour les Formules Tasmane ou Indy. Études de style et concept-car réalisés par des carrossiers et des designers indépendants, fiches techniques, chiffres de production, variantes de chaque modèle, palmarès des principales victoires… l’évolution du style et du design de ces sublimes bolides reçoit l’éclairage avisé de l’historien Serge Bellu, auteur de plusieurs livres sur l’histoire de l’automobile et du design, et qui aura consacré des années à documenter cet ouvrage monumental. IN-DIS-PEN-SABLE !

Tipo 815 d'Auto Avio Costruzioni à sa sortie d'usine

Le Tipo 815 d’Auto Avio Costruzioni à sa sortie d’usine. © Grand Tourisme S.A.S

Le profil pisciforme de la 156 F1 lors de sa première présentation en fevrier 1962. © Grand Tourisme S.A.S

Ferrari 288 GTO

288 GTO © Grand Tourisme S.A.S

 John Surtees au départ du Grand Prix de Solitude, hors championnat, au volant de la 158 F1. ©Grand Tourisme S.A.S

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En photo : Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947. // Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau
Regard Culturel
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Dans l’œil de Doisneau

  En photo : Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947. // Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau C’est

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En photo : Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947. // Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau

Dans l’œil de Doisneau

 

En photo : Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947. // Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau

Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau

C’est l’un de nos photographes français les plus célèbres, ses photos ayant fait le tour du monde. Après des années d’absence, les œuvres de Robert Doisneau reviennent à la capitale pour une rétrospective unique au Musée Maillol. L’occasion d’une immersion dans son univers si particulier, entre réalisme et poésie. Au travers de plus de 350 clichés (tirages vintage en noir et blanc, mais aussi en couleur), c’est le témoignage captivant de son époque, des années 1930 aux années 1980, où il “saisissait” en un clic, l’enfance, sa banlieue parisienne, les ateliers d’artistes qu’il fréquentait, ses années au service de Vogue, la mode et le luxe d’après-guerre… L’œil aiguisé de Doisneau voulait montrer le monde tel qu’il est, dur et injuste souvent, et y porter son regard poétique afin de le transformer. La spontanéité et l’innocence étaient au fondement de sa vision du monde. Dans son quotidien, la beauté prenait d’ailleurs plusieurs formes, et il photographiait toujours avec empathie, sans jamais de surplomb par rapport à son sujet. Privilège du hasard, la rencontre était, pour ses yeux, le lieu d’expression par excellence de ses “instants donnés”. Quel joli cadeau que de saisir l’âme de ses images, à la fois si personnelles et au message inexorablement universel.

Robert Doisneau. Instants donnés.

Jusqu’au 12 octobre 2025

Musée Maillol, 59-61 rue de Grenelle, Paris 7e.

museemaillol.com

14 juillet aux Tuileries, 1978. © Atelier Robert Doisneau

14 juillet aux Tuileries, 1978. © Atelier Robert Doisneau

Le Saut, 1936. © Atelier Robert Doisneau

Le Saut, 1936. © Atelier Robert Doisneau

« Si c’était à refaire, je referais tout en couleur »

Robert Doisneau

Les Coiffeuses au soleil, juin 1966. © Atelier Robert Doisneau

Les Coiffeuses au soleil, juin 1966. © Atelier Robert Doisneau

Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947.

Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947.

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  En photo : Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947. // Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau C’est

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 En photo : Vassily KANDINSKY Bleu du ciel, 1940 Huile sur toile. 100 x 73 cm. © Centre Pompidou,  GrandPalaisRmn, © Domaine public // Marc Chagall Bella au col blanc, 1917 Huile sur toile de lin. 149 x 72 cm. Dation en 1988 © Centre Pompidou, ©Adagp, Paris, 2025

Pour en voir de toutes les couleurs

 En photo : Vassily KANDINSKY Bleu du ciel, 1940 Huile sur toile. 100 x 73 cm. © Centre Pompidou,  GrandPalaisRmn, © Domaine public // Marc Chagall Bella au col blanc, 1917 Huile sur toile de lin. 149 x 72 cm. Dation en 1988 © Centre Pompidou, ©Adagp, Paris, 2025

Fernand Léger Les grands plongeurs noirs, 1944

Fernand Léger Les grands plongeurs noirs, 1944 Huile sur toile, 189 x 221 cm. Dation en 1982. Collection Centre Pompidou, Paris. Musée national d’art moderne – Centre de création industrielle. © Centre Pompidou, MNAM-CCI/JacquesFaujour/Dist.GrandPalaisRmn © Adagp, Paris 2025

Cet été s’annonce coloré ! Car, voici à travers collection du Centre Pompidou, —dont des toiles d’une trentaine d’artistes majeurs—, de Sonia Delaunay à Jean-Michel Basquiat, en passant par Pablo Picasso, Amedeo Modigliani, Henri Matisse, Vassily Kandinsky…, l’histoire fascinante de l’évolution de la perception et de l’utilisation de la couleur dans les courants artistiques majeurs du siècle dernier. Depuis le fauvisme avec Matisse et Derain, jusqu’à l’expressionnisme abstrait et le street art, incarnés par Basquiat. Sur leurs toiles, tous ces artistes ont en effet exploré les multiples dimensions de la couleur, qu’elle soit expressive, symbolique, structurante, ou encore émotionnelle. Une exposition, et un véritable voyage sensoriel et visuel qui attend ici le visiteur puisque, au coeur même de l’exposition, sept espaces monochromatiques, enrichis des créations sonores du talentueux compositeur chilien Roque Rivas, et des ambiances olfactives développées par l’illustre “nez”, Alexis Dadier, avec la maison Fragonard, seront l’occasion d’une immersion : pour vivre la couleur à travers nos sens, l’ouïe et l’odorat. On y admirera aussi des pièces de design signées Ron Arad, Jean Prouvé, Ettore Sottsass ou encore Philippe Starck, grâce au parcours spécialement conçu par l’architecte d’intérieur et designeuse, Marion Maelander. De quoi nous redonner des couleurs !

COULEURS ! Chefs-d’oeuvre du Centre Pompidou

Jusqu’au 31 août 2025

Grimaldi Forum Monaco, 10 Av. Princesse Grace, 98000 Monaco

grimaldiforum.com

Marc Chagall Bella au col blanc, 1917

Marc Chagall Bella au col blanc, 1917 Huile sur toile de lin. 149 x 72 cm. Dation en 1988. Collection Centre Pompidou, Paris Musée national d’art moderne – Centre de création industrielle. © Centre Pompidou, ©Adagp, Paris, 2025

Vassily KANDINSKY Bleu du ciel, 1940

Vassily KANDINSKY Bleu du ciel, 1940 Huile sur toile. 100 x 73 cm. © Centre Pompidou,  GrandPalaisRmn, © Domaine public

Pierre BONNARD L’Atelier au mimosa, hiver 1939 / octobre 1946. Huile sur toile. 127,5 x 127,5 cm. © Centre Pompidou, © Domaine public

Martial Raysse. Made in Japan - La grande odalisque, 1964

Martial Raysse. Made in Japan – La grande odalisque, 1964. Peinture acrylique, verre, mouche, passementerie en fibre synthétique, sur photographie marouflée sur toile. 130 x 97 cm. Don de la Scaler Foundation en 1995. Collection Centre Pompidou, Paris Musée national d’art moderne – Centre de création industrielle. © Centre Pompidou, © Adagp, Paris, 2025

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Lunettes Longchamp by Marchon.

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Sarah Poniatowski femme inspirante

 En photo : RÊVEZ, OSEZ, CRÉEZ… et recommencez. Sarah Poniatowski. 166 pages. Éditions Flammarion. © DR / Photo : Nouvelle collection Echappée, un voyage à travers la couleur et l’objet © DR

livre RÊVER, OSEZ, CREEZ... et recommencez Sarah Poniatowski

RÊVEZ, OSEZ, CRÉEZ… et recommencez. Sarah Poniatowski. 166 pages. Éditions Flammarion. © DR

« On ne part pas du même endroit, tout le monde a des qualités et des atouts particuliers mais une chose nous unit : l’envie de créer, de transmettre et de progresser. On essaie, on se trompe, on apprend et on avance ! Ce livre est destiné à celles et ceux qui veulent trouver de l’élan, qui veulent passer d’un « et si… » à un « et donc ».
Point d’énième livre de décoration ou d’autobiographie ici, mais un guide authentique et intimiste de la designer, créatrice et décoratrice, Sarah Poniatowski (ex-femme de Marc Lavoine), pour insuffler à chacun la confiance de croire en ses idées. Fruit de vingt années de passion, de travail et de créativité, à travers lesquelles elle a construit sa marque, ce livre joliment illustré est pensé comme un guide pour celles et ceux qui souhaitent se lancer ou se réinventer, et donne toutes les réponses qu’elle a trouvées en chemin. Sarah y partage les valeurs qui la guident : la curiosité, la persévérance et surtout la sincérité et aborde avec bienveillance, l’importance d’une vision personnelle, de l’entraide et de la force de l’effort quotidien – qualités qui pour elle, sont indispensables pour faire vivre un projet, bien au-delà d’un simple business plan. Autodidacte et décomplexée, celle qui se joue des règles et crée à l’instinct, à la tête de 19 boutiques, livre ici ses conseils inspirants pour aller de l’avant et développer sa créativité. Une lecture qui nous a reboostées !

Nouvelle collection Echappée Sarah Poniatowski
Nouvelle collection Echappée Sarah Poniatowski

Nouvelle collection Echappée, un voyage à travers la couleur et l’objet © DR.

Sarah Poniatowski ouvre son studio d’architecture d’intérieur Maison Sarah Lavoine en 2002 et lance ses 1ères collections de mobilier, de décoration et de prêt à porter en 2012. Sa signature ? Métissage des pièces et lignes élégantes, couleurs franches (son bleu Sarah est un iconique), matériaux durables & naturels, artisanat français… pour un style au design unique, entre modernité et intemporalité.

Portrait Sarah Poniatowski

Sarah Poniatowski.© DR

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En photo : Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947. // Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau
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David Hockney l’inclassable !

 En photo : David Hockney, Portrait of an Artist (Pool with Two Figures), 1972. Acrylic on canvas 213.36 x 304.8 cm (84 x 120 Inches) © David Hockney. Photo Credit: Art Gallery of New South Wales / Jenni Carter.

©David-Hockney-Christopher-Isherwood-and-Don-Bachardy

David Hockney, Christopher Isherwood and Don Bachardy,
1968. Acrylic on canvas. 212.09 x 303.53 cm (83.5 x 119.5 Inches).
© David Hockney. Photo Credit: Fabrice Gibert

C’est LE rendez-vous culturel de l’année 2025 ! Après Warhol, Basquiat, Rothko…, voici le grand et l’unique David Hockney qui investit pour notre plus grand plaisir, les salles de la Fondation Louis Vuitton. Doit-on présenter encore celui qui compte parmi les artistes les plus influents des XXe et XXIe siècles ?
D’abord dessinateur, passé maître dans toutes les techniques académiques, le peintre est aujourd’hui un des champions des nouvelles technologies. Sa capacité à toujours se réinventer à travers des nouveaux media est en effet, exceptionnelle. Et cette exposition montre combien ces dernières années témoignent du renouvellement permanent de ses sujets et de ses modes d’expression. Il s’est d’ailleurs totalement impliqué dans la réalisation de cette exposition, choisissant lui-même de recentrer le sujet sur les vingt-cinq dernières années de son œuvre sans omettre ses œuvres “mythiques” de ses débuts, proposant ainsi une immersion dans son univers, couvrant sept décennies de création. 400 œuvres de 1955 à 2025 sont ici réunies, provenant de l’atelier de l’artiste et de sa fondation, de prêts de collections internationales, institutionnelles ou privées : peintures à l’huile ou à l’acrylique, dessins à l’encre, au crayon et au fusain, mais aussi des œuvres numériques (dessins photographiques, à l’ordinateur, sur iPhone et sur iPad) et des installations vidéo. C’est foisonnant, inspirant, coloré et toujours admirablement maîtrisé : bref, c’est IN-RA-TABLE !

« Cette exposition est particulièrement importante
pour moi, car c’est la plus grande que j’aie jamais eue – les onze galeries de la Fondation Louis Vuitton !
Quelques-unes de mes toutes dernières peintures, auxquelles je suis en train de travailler, y seront présentées.
Ça va être bien, je crois ! »

David Hockney.

©David-Hockney-Portrait-of-My-Father.

David Hockney, Portrait of My Father,
1955. Oil on canvas. 50.8 x 40.6 cm (20 x 16 Inches).© David Hockney. Photo Credit: Richard Schmidt. The David Hockney Foundation

ON S’Y PRESSE POUR ADMIRER… ses œuvres emblématiques des années 1950 aux années 1970 – depuis ses débuts à Bradford (Portrait of My Father, 1955), puis à Londres, jusqu’en Californie. La piscine, thème emblématique, apparaît avec A Bigger Splash, 1967 et Portrait of An Artist (Pool with Two Figures), 1972. À partir de la décennie 1980 1990, la nature prend une place toujours plus importante dans son travail (comme en témoigne A Bigger Grand Canyon, 1998) avant que l’artiste ne regagne l’Europe pour y poursuivre l’exploration de paysages familiers. Ce sera le Yorkshire où il redécouvre les paysages de l’enfance, ainsi que sa Normandie qu’il affectionne tant, et aussi Londres, où il réside depuis 2023. L’artiste poursuit aussi le portrait de ses proches, à l’acrylique ou sur iPad, ponctué de plusieurs autoportraits… à découvrir, ici !

David-Hockney-Portrait-of-an-Artist

David Hockney, Portrait of an Artist (Pool with Two Figures), 1972. Acrylic on canvas 213.36 x 304.8 cm (84 x 120 Inches) © David Hockney. Photo Credit: Art Gallery of New South Wales / Jenni Carter.

Ipad painting on paper David Hockney

David Hockney, 27th March 2020, No. 1, 2020. iPad painting printed on paper, mounted on 5 panels Exhibition Proof 2. 364.09 x 521.4 cm (143.343 x 205.276 Inches). © David Hockney

UN ART RÉSOLUMENT MODERNE
Reconnu depuis plus de six décennies, David Hockney s’est vite imposé
au début des années 1960 comme l’une des figures majeures de l’art
contemporain de la scène britannique. Le langage pictural sous toutes
ses formes le fascine, et il se distingue par la maîtrise des couleurs et sa
capacité à capturer l’essence du quotidien. Il a côtoyé l’abstraction, mais
reste résolument figuratif, interrogeant constamment le monde qui
l’entoure et qu’il dessine et peint d’après nature, mais aussi de mémoire
et d’imagination. Tout au long de sa carrière, Hockney a créé des séries
d’œuvre, ainsi que des peintures autonomes, devenues emblématiques !

A Bigger Splash David Hockney

David Hockney, A Bigger Splash, 1967. Acrylic on canvas. 242.5 x 243.9 x 3 cm (96 x 96 x 1.181 Inches). © David Hockney. Tate, U.K.

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Chanel

Pleins feux sur la beauté signée Chanel

 

En photo : couverture CHANEL. L’allure du maquillage. Natasha A Fraser. 300 illustrations, Editions Thames & Hudson. © DR //  Gabrielle Chanel in 1939.
© George Hoyningen-Huene Estate Archives

Couverture CHANEL. L’allure du maquillage. Natasha A Fraser. 300 illustrations, Editions Thames & Hudson. © DR

C’est le premier ouvrage entièrement consacré à l’histoire du maquillage Chanel ! Un livre remarquable qui célèbre l’épopée inspirante de la création de maquillage débutée en 1924 par la Maison. Cette année-là, Gabrielle Chanel lançait les premiers maquillages, marquant le début d’un siècle de créativité, d’excellence et d’innovation. « En brisant les règles de la tradition et en se libérant de la nécessité de plaire aux autres, Chanel a révolutionné la garde-robe du XXe siècle, imposé une nouvelle vision de la joaillerie, transformé le monde de la beauté et introduit une attitude moderne qui a transcendé tous les aspects de sa vie », écrit en préambule la journaliste et auteur Natasha Fraser. Au fil des pages, nous découvrons les images historiques des premières créations de cosmétiques, ainsi que des campagnes publicitaires mettant en lumière des femmes iconiques du 7e art. A travers ces photos inédites, c’est surtout la vision avant-gardiste de “Coco”, qui depuis ses débuts de couturière et modiste n’a eu de cesse d’encourager les femmes à oser et à se surpasser. « Elle a su réveiller les consciences avec sa devise mythique “la vie n’est pas une répétition”», confirme Thomas du Pré de Saint Maur, Directeur général des Ressources Créatives pour les parfums et la beauté Chanel. Il est vrai que le maquillage Chanel continue aujourd’hui encore de redéfinir notre vision de la beauté, et ce quelles que soient les générations qui l’utilisent. « Redonner aux femmes du mystère, c’est leur redonner de la jeunesse.» aimait à dire Mademoiselle. Une devise, à l’image de ce livre, haute en couleurs !

« Le maquillage CHANEL se distingue par son esprit d’innovation où allure et style semblent guidés par l’intuition et la vision et cristallisent une signature immédiatement reconnaissable. »

Natasha A Fraser.

L'été Papillon de Chanel

L’Eté Papillon de Chanel (2013). © 2013 / CHANEL / Photographe :
Richard Burbridge.

On aime que l’histoire captivante de Chanel soit racontée à travers sept chapitres, chacun incarnant une couleur emblématique de l’univers visuel de la Maison (noir, blanc, beige, rouge, rose, or et bleu) et mettant en lumière les talents qui ont façonné l’héritage vivant de la marque à travers les décennies. Pour les beauty addicts, on y retrouve les produits iconiques tels le boitier carré galbé noir et blanc ou le rouge à lèvres Rouge Allure (et son rouge intemporel). So chic !

Collection Holiday (2023). Modèle : Vittoria Ceretti. © 2023 / CHANEL / Photographe : Karim Sadli.

Lignes et cils magiques Chanel

Ligne et Cils magiques (1992). Modèle : Patricia Van Ryckeghem. © 1992 / CHANEL / Photographes : Walter Chin et Didier Roy.

Collection Holiday (2023). © 2023 / CHANEL / Photographe : Guido Mocafico.

L’ACTU

Chanel a ouvert sa première “Maison de beauté”, au cœur du 16e arrondissement de Paris, dans le chicissime quartier de Passy. Un écrin de rêve de 180 m2 sur 3 étages entièrement dédié à l’art de la beauté (maquillage, parfums, soins sur mesure et esthétiques…) ! Une belle adresse parisienne pour Chanel qui rend ainsi hommage à la ville qui l’a vue naître. 

La Maison de Beauté Chanel. 

1, chaussée de la Muette,

75016 Paris. 10h-19h.

Gabrielle Chanel en 1939

Gabrielle Chanel in 1939.
© George Hoyningen-Huene Estate Archives

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La bible des voitures d’exception

 

En photo : couverture RARE CARS The world’s most exclusive rides © DR //  Pagani Zonda HP Barchetta, 2022 © Pagani Automobili

Couverture livre Rare Cars

RARE CARS The world’s most exclusive rides. Texte d’A.J. Baime. 312 pages, plus de 200 illustrations dans un coffret en métal fait-main. Ed Assouline (assouline.com) ©DR

Passionnés de la première heure, amoureux de belles mécaniques ou collectionneurs invétérés…, ce livre est fait pour vous ! Dans ces pages, le célèbre journaliste automobile A.J. Baime a recensé plus de quarante voitures produites de 1931 à nos jours, dont beaucoup ont désormais une valeur de plusieurs dizaines de millions de dollars. Voici les modèles les plus célèbres au monde, comme la Toyota 200GT Roaster conçue pour le film James Bond, On Ne Vit Que Deux Fois (1967) ; la tristement célèbre Porsche 550 Spyder de James Dean, ou l’une des Ferrari préférées de Ralph Lauren. Mais aussi, d’autres “chefs-d’œuvre”, comme la première Ferrari (la 125 S datant de 1947), propulsée par le révolutionnaire V-12 Colombo, vainqueur en course ; la DeLorean plaquée or 24 carats, star de la campagne de publicité d’American Express ; le coupé Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut de 1955, vendu pour la somme record de 142 millions de dollars, ou ce modèle électrique devenu culte et créé par un adolescent croate (la Rimac Nevera Time Attack)… C’est une plongée rutilante dans l’épopée du design automobile, une certaine idée du rêve, à feuilleter sans modération. 

orsche 917 « Art Car », 1970. © Michael Furman for Simeone Automotive Museum

Porsche 917 « Art Car », 1970 © Michael Furman for Simeone Automotive Museum

Spyker C8 Laviolette, 2001
© Ted7 LLC

Le propriétaire d’Aston Martin, David Brown (à gauche), inspecte le modèle en argile d’une Aston Martin avec Frank Feeley, le designer de la marque, au studio de design Feltham, en 1954. © Popperfoto via Getty Images/Getty Images

Le propriétaire d’Aston Martin, David Brown (à gauche), inspecte le modèle en argile d’une Aston Martin avec Frank Feeley, le designer de la marque, au studio de design Feltham, en 1954 © Popperfoto via Getty Images/Getty Images

Bizzarrini P538, 1967. 38 © Michael Furman for Simeone Automotive Museum

 Bizzarrini P538, 1967 © Michael Furman for Simeone Automotive Museum

Pagani Zonda HP Barchetta, 2022.© Pagani Automobili

Pagani Zonda HP Barchetta, 2022 © Pagani Automobili

Alfa Romeo 8C P3 Tipo B Monoposto, 1934. © Tim Scott/Fluid Images

Alfa Romeo 8C P3 Tipo B Monoposto, 1934 © Tim Scott/Fluid Images

McLaren F1 LM, 1995 © Tim Scott/Fluid Images

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W Motors Lykan HyperSport, 2016 © W Motors

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 En couverture : Toutes les Ferrari, Serge Bellu. 448 pages, 900 photographies. Editions Glénat (glenat.com) © DR / Photo : John Surtees au départ du Grand Prix de Solitude, hors championnat,

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Dakota Johnson en lunettes Gucci
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Lunettes ambiance cannoise

Le Festival de Cannes est l’occasion rêvée d’admirer les célébrités du monde entier, entre glamour, tapis rouge et regards artistiques. Sur la Croisette, un accessoire fait toujours sensation : les

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En photo : Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947. // Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau
Regard Culturel
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Dans l’œil de Doisneau

  En photo : Robert Doisneau. Autoportrait au Rolleiflex 1947. // Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau Baiser valsé, 2 juin 1950. © Atelier Robert Doisneau C’est

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La bible des voitures d’exception

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Charlotte Perriand : un design au sommet

En photo : couverture Charlotte Perriand la montagne inspirée, Pascale Nivelle ©Editions Paulsen /  Arc 1800, le mont Blanc veille sur les Arcs ©Pernette Perriand ©Archives Charlotte Perriand ADAGP 2024

Charlotte Perriand la montagne inspirée, Pascale Nivelle ©Editions Paulsen

C’est dans la nature que cette pionnière du design et créatrice surdouée, trouvait son inspiration. La montagne, fil conducteur de la vie et de la foisonnante carrière de Charlotte Perriand pendant 70 ans (depuis l’esquisse de son refuge Bivouac bricolé avec les moyens du bord jusqu’à la conception de la station de ski des Arcs dans les années 1960-1970). Pour cette visionnaire, écologiste avant l’heure, inventrice d’un nouvel art d’habiter au XXe
siècle : des formes, des meubles (qu’elle conçut dans l’atelier de Le Corbusier puis seule), des espaces salués dans le monde entier… aucune mondanité ne valait une partie d’escalade ou une balade à peaux de phoque dans le massif de la Vanoise. « Cette conquête de la montagne a eu beaucoup d’influence sur mon comportement dans ma vie professionnelle. Quand les choses sont difficiles, je ne les abandonne pas, je continue jusqu’au bout même si c’est extrêmement pénible. » Alpiniste chevronnée, elle a arpenté les sommets en Europe et au Japon, skiant même jusqu’à 75 ans. Peu importe l’exploit, « lui suffisaient l’amitié des cordées, la chaleur humaine des refuges et la satisfaction de l’effort accompli quand elle touchait un sommet chèrement grimpé », note l’auteur qui avec moults détails, relate ici la relation de cette femme engagée, joyeuse et intrépide, avec cette montagne, sa perpétuelle “recréation”. Etayé de photos incroyables, ce livre est un grand bol d’air pur : magnifique !

Charlotte-Perriand-et-deux-bergers-en-1936

Charlotte Perriand avec des bergers en Haut-Provence, 1936 ©Archives Charlotte Perriand – ADAGP 2024

Le refuge Bivouac en janvier 1939. Légèrement à gauche de l’axe de la croix : le sommet du mont Blanc. Photo Charlotte Perriand ©Arch Charlotte Perriand ADAGP

Charlotte-Perriand-Refuge-des-Evettes-

La stryge de Notre-Dame, oeuvre de Viollet-le-Duc, semble méditer devant le spectacle de Paris à ses pieds © Sylvain Sonnet

Fauteuil-pour-lhotel-Doron-a-Meribel-en-1947-Photo-Marie-Clerin-Laffanour-Galerie-Paris.

Fauteuil pour l’hôtel Doron à Méribel en 1947 ©Marie Clérin- Laffanour
Galerie Paris

Arc_1800-Le-mont-Blanc-veille-sur-les-Arcs-Photo-Pernette-Perriand-©ArchivesCharlotte-Perriand-ADAGP-

Aux Arcs, à partir de 1968, Charlotte Perriand peut enfin affirmer sa vision d’une station intégrée, sans voitures, avec des immeubles habillés de bois, épousant la pente. Ce grand projet va l’occuper pendant 20 ans. Photo : Arc 1800, le mont Blanc veille sur les Arcs ©Pernette Perriand ©Archives Charlotte Perriand ADAGP 2024

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Couverture-Collier-tigre-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-vg-©-Maxime-Govet

Cartier, la quintessence du luxe !

En photo : couverture Cartier The Impossible Collection © Ed Assouline // Collier tigre, 2021 © Maxime Govet

Couverture-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline

C’est un livre pour rêver… d’élégance, de beauté, de raffinement, de belles histoires inédites sur la création des cent objets et bijoux Cartier les plus étonnants et innovants de la maison de joaillerie, réputée comme l’une des plus exclusives depuis le XIXe siècle.
Avec des boutiques à Paris, Londres et New York dès 1909, le joaillier, fort de sa fine expertise du marché des pierres précieuses, s’est rapidement imposé comme une figure internationale de renom, devenant le fournisseur officiel de nombreuses familles royales. Jean Cocteau, Alberto Santos- Dumont, le Maharaja de Nawanagar, la Duchesse de Windsor, Gloria Swanson ou encore la belle Elizabeth Taylor… ont eux aussi participé au développement et à l’influence du style Cartier. Que ce soient les créations iconiques de Jeanne Toussaint (sa légendaire directrice artistique) ou encore ses célèbres motifs panthère et Tutti Frutti : chaque nouvelle collection, fruit d’un savoir-faire technique exigeant, est un évènement. Cartier ne cesse de se distinguer par sa signature atemporelle, reconnaissable entre toutes !

Cartier
The Impossible Collection

Texte d’Hervé Dewintre.

224 pages, 195 illustrations.

Ed Assouline (assouline.com)

Collier-Hope-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Ullstein-Bild-Getty-Images.

Modèle tenant le collier « Hope » en diamants, 1958.
Acquis par Cartier en 1910, le diamant « Hope » est aujourd’hui exposé dans sa propre salle à la Smithsonian Institution, où il est admiré par des millions de visiteurs chaque année. © Ed Assouline © Ullstein Bild Getty Images

Bague-Saphir-emeraude-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Bague en saphir et émeraude, 2022. Dès ses débuts, Cartier a cherché à développer une grande variété de formes au sein de ses collections.  
© Ed Assouline © Maxime Govet

Tiare-en-citrine-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Vincent-Wulveryck

Tiare en citrine, 1937. Dans les années 1920, Cartier commença à ajouter des pierres semiprécieuses à ses pièces les plus importantes. Leurs couleurs inattendues séduisaient alors les adeptes du modernisme et du surréalisme. © Ed Assouline © Vincent Wulveryck

Collier-panthere-intaglio-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Collier panthère intaglio, 2021.
L’ancienne technique intaglio nécessite une dextérité extraordinaire afin de réaliser une sculpture en plusieurs dimensions. Le polissage du dos de la pierre précieuse doit se faire patiemment, rehaussant ainsi ses teintes fauves et la perfection de sa coupe.© Ed Assouline © Maxime Govet

Panthere-Kali-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Jean-Lariviere

La panthère Kali devant la boutique Cartier de la rue de la Paix, photographiée par Jean Larivière pour le magazine L’Égoïste, numéro 14, en 2000. 
© Ed Assouline © Jean Lariviere

Collier-tigre-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Collier tigre, 2021. L’expressivité saisissante des félins Cartier est obtenue à l’aide de nombreuses techniques artisanales qui représentent leur mouvement, leur physique, ainsi que leur réalisme et leur élégance. © Ed Assouline © Maxime Govet

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©Courtesy of Burberry

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Couverture-Les-foulards-Dior-Vig-©Brigitte-Niedermair

Les foulards Dior, la plus belle des histoires de mode !

En photo : couverture Les Foulards Dior. Histoires de mode © Ed Thames & Hudson // © Dior jungle Pop, printemps-été 2022. © Brigitte Niedermair

Couverture-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

C’est un sublime ouvrage-portfolio qui “montre” la multitude d’inspirations des carrés de soie et leur rôle au sein de la Maison, de Christian Dior à Maria Grazia Chiuri, sa directrice artistique de Dior femme. Le foulard, pièce d’exception et élément central de la garde-robe, raconte à travers la diversité de ses imprimés, la virtuosité des savoir-faire d’une marque ou la vision artistique d’un créateur. Autour du cou, du poignet, d’un visage, dans une coiffure, embrassant la taille, égayant un accessoire ou porté tel un manifeste, le foulard pare chaque look d’une élégance subtile. Pour Monsieur Dior, « le détail est aussi important que l’essentiel », alors on admire ici avec le sens du détail, ces 425 foulards immortalisés par la photographe Brigitte Niedermair et classés par thèmes et inspirations (la grotte de Lascaux, l’art moderne et contemporain, le pop art, le Nouveau Réalisme, l’abstraction, la cartographie de Paris, etc.). On se régale des textes de référence de ces historiennes de la mode de renom (Maria Luisa Frisa, Claire Allen-Johnstone, Émilie Hammen…) sur le sujet. Précieux éclairages historiques et techniques sur des artisanats séculaires qui oeuvrent dans le secret des manufactures, conjugués aux innovations les plus pointues. 
C’est soyeux, si haute couture !

Les Foulards Dior.
Histoires de mode

Sous la direction de Maria Luisa Frisa.

760 pages, 500 illustrations.

Editions Thames & Hudson (thamesandhudson.fr)

automne-2023-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Toile de Jouy Voyage, automne 2023. ©Brigitte Niedermair

automne-hiver-2021-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Mizza, automne hiver 2021.
©Brigitte Niedermair

automne-hiver-2021-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair-1

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Dior Oblique, automne-hiver 2021. ©Brigitte Niedermair

automne-2023-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair-1

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Étoile de voyage, automne 2023. ©Brigitte Niedermair

boutique-Colifichets-Les-foulards-Dior-©Association-Willy-Maywald-Adagp-Paris-2024

La boutique Colifichets du 30, avenue Montaigne, en 1949.
©Association Willy Maywald/Adagp Paris, 2024

printemps-ete-2022-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Dior jungle Pop, printemps-été 2022. ©Brigitte Niedermair

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