Accueil > STARS > Regard Culturel
Category:

Regard Culturel

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com

La Galerie de l’Instant a 20 ans

 

En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant

Marilyn Monroe - Lunettes-Galerie.com

Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie de l’Instant


20 ans que La Galerie de l’Instant nous éblouit, nous émerveille ! Une de nos adresses favorites à Paris, et qui pour notre grand plaisir, s’exporte aussi souvent en d’incroyables expositions éphémères aux quatre coins de France (St Jean de Luz, Bordeaux, Arles, Nice…). Toujours, La Galerie de l’Instant, nous enchante : grâce à sa fondatrice, la talentueuse Julia Gragnon, qui par sa sélection de photos pointue et exigeante, flaire mieux que quiconque la beauté de ces instants “pris sur le vif”. Grâce à son art délicat aussi de mettre en valeur les gens, l’artiste, les artistes, les photographes, les tireurs photo, l’humain en général. Que de merveilles, nous donne-t-elle “à voir” ! Cette exposition est un hommage à son métier, à ses 20 années de recherches et d’heureuses surprises, pour celle qui débuta sa 1ère expo avec sa collection personnelle, puis avec les archives de son père, François Gragnon, photographe à Paris Match. « Quelle fierté ce fut d’ouvrir la Galerie à ses côtés, de partager avec les premiers clients les émotions suscitées par ses images. Comment imaginer en ouvrant cet espace, être témoin de larmes des visiteurs, émus par ces souvenirs passés ? ». Ce sont, encore et toujours, ses incroyables rencontres (Christophe d’Yvoire, Lucien Clergue, Paolo Pellegrin, Sophie Le Tellier, Raymond Cauchetier, Ellen Von Unwerth, Bruce Weber, Dominique Tarlé…), ici et à travers le monde, qui la nourrissent et lui soufflent ses inspirations pour ses expositions. Nous, on ne s’en lasse pas : MERCI Julia. Encore un bijou que vous nous offrez !

Muhammad-Ali-Madison-Square-Garden- Lunettes-Galerie.com
Catherine-Deneuve-tournage-du-film-Manon-Lunettes-Galerie.com

Muhammad Ali avant son second combat où il va enfin gagner son match revanche contre Joe Frazier, Madson Square Garden, New York, 1974
©Jean-Pierre Laffont / La Galerie de l’Instant

Catherine Deneuve, tournage du film Manon 70, Paris, 1967
©Georges Pierre / La Galerie de l’Instant

Jane Birkin-Lunettes-Galerie.com

Jane Birkin, pochette de l’album Histoire de Melody Nelson, Paris, 1970
© Tony Frank / La Galerie de l’Instant

Sylvie Vartan-Lunettes-Galerie.com

Sylvie Vartan, Brooklyn Bridge, New York, 1979
© Jean-Pierre Laffont / La Galerie de l’Instant

  « Il me reste heureusement quelques rêves à réaliser, mais déjà, je n’aurais jamais
osé imaginer tout ce que j’ai vécu grâce à la photographie, à cet amour sincère
des images, et à cette passion que nous partageons, ENSEMBLE.
« 

Julia Gragnon

Jeanne-Moreau-La-Baie-des-anges-Lunettes-Galerie.com

Jeanne Moreau, tournage du film La Baie des Anges, Cannes, 1962
© RaymondCauchetier / La Galerie de l’Instant

Romy-Schneider-et-Alain-Delon-Lunettes-Galerie.com

Romy Schneider et Alain Delon sur le tournage de La Piscine, Ramatuelle, 1968
© Philippine Le Tellier/ ParisMatch / La Galerie de l’Instant

Frida-Kahlo-Lunettes-Galerie.com

Frida Kahlo, double portrait, Hôtel Barbizon, New York, 1933
© Lucienne Bloch / La Galerie de l’Instant

Steve McQueen-Lunettes-Galerie.com

Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
100 ans pour la Maison Lesage", jusqu'au 5 janvier 2025 à la Galerie du 19.

100 ans pour la maison Lesage !

 

En photo : Affiche de l’exposition 100 ans pour la maison Lesage // Réalisation d’une broderie dans les ateliers Lesage © le19M Photo Elea Jeanne Schmitte

Vue de l'atelier de Création textile de Lesage pour Chanel, photo d'Alix Marnat.

Vue de l’atelier de création textile de Lesage © CHANEL Photo Alix Marnat

Pampilles, strass, rubans, perles et cristaux… la Galerie du 19M célèbre les cent ans d’excellence et d’innovation de la Maison de broderie et de textile, Lesage. Un siècle de savoir-faire exceptionnel au service de la Haute Couture, de la mode et de la décoration, des plus grands noms comme des jeunes créateurs. Fondée par le couple visionnaire Albert et Marie-Louise Lesage, étoffée par l’audace de leur fils François Lesage, l’illustre Maison de broderie a su traverser les époques, s’ouvrir au textile, s’implanter en Inde et entrer dans l’Histoire. Lesage est aujourd’hui le collaborateur privilégié de clients les plus prestigieux. Ponctuée de pièces d’artisanat d’art uniques par leur virtuosité technique et réalisées pour des Maisons de Haute Couture, cette exposition donne à voir chacun des gestes et des étapes de la création. Un voyage onirique dans la matière, les textures, et dans les coulisses des ateliers où oeuvrent petites mains et artisans. Une immersion rare dans l’histoire et l’héritage de ce savoir-faire français unique qu’on nous envie à travers le monde. FÉÉRIQUE ! 

100 ans pour la maison Lesage

Jusqu’au 5 janvier 2025

Galerie du 19M, 75019 Paris

Métiers à broder et tréteaux dans les ateliers Lesage pour Chanel, photo d'Alix Marnat.

Métiers à broder et tréteaux dans les ateliers Lesage au 19M © CHANEL Photo Alix Marnat

Affiche de l'exposition "100 ans pour la Maison Lesage".

Affiche de l’exposition 100 ans pour la maison Lesage © DR

DE FIL EN AIGUILLE…

Installée depuis 2021, dans ses nouveaux ateliers du 19M, la Maison Lesage, c’est la plus importante collection de broderie d’art au monde : près de 75 000 échantillons, soigneusement conservés à l’abri des regards, et dont une sélection sera exceptionnellement présentée en dehors des archives de la Maison pour l’occasion. Une collection qui s’enrichit chaque saison d’échantillons exceptionnels que les brodeuses Lesage continuent de créer pour Chanel, Valentino, Dior et les autres, et pour les nouveaux talents de la Haute Couture et du prêt-à-porter de luxe… Tradition, virtuosité, mais aussi, souci d’innovation puisqu’aujourd’hui d’autres technologies (laser et 3D) sont de nouvelles ressources au service des designers les plus avantgardistes.

Création d'un tweed dans l'atelier de création textile de Lesage, photo de Lucie Khahoutian.

Création d’un tweed dans l’atelier de création textile de Lesage. © Photo Lucie Khahoutian

Réalisation d'une broderie dans les ateliers Lesage pour Chanel, photo d'Alix Marnat.

© CHANEL Photo Alix Marnat

LESAGE EN DATES 

1924. Albert et Marie-Louise Lesage reprennent l’atelier du brodeur Michonet, qui entame une fructueuse collaboration avec Schiaparelli donnant naissance à des créations spectaculaires. 1949. François Lesage, 20 ans, prend la tête de l’entreprise et créé des broderies pour Dior, Balmain, Givenchy. La Maison est vite réputée pour ses motifs avant-gardistes. 1960. François Lesage devient maître brodeur. 1983. Arrivée de Karl Lagerfeld chez Chanel et début de la collaboration avec la Maison Lesage. 1990. François Lesage crée un atelier textile et en 1993, fonde Lesage Intérieurs. 1998. Jean-François Lesage propose à Chanel des tweeds pour ses collections de prêt-àporter, puis en 2008, pour la Haute Couture. 2002. Lesage rejoint l’écosystème des Métiers d’art de Chanel tout en continuant à collaborer avec d’autres maisons de mode. 2021. Lesage, Lesage Intérieurs et l’Ecole Lesage (créée en 1992) s’installent dans leurs nouveaux ateliers du 19M.

Réalisation d'une broderie dans les ateliers Lesage, photo prise par Elea Jeanne Schmitter.

Réalisation d’une broderie dans les ateliers Lesage © le19M Photo Elea Jeanne Schmitter

« Lesage est une maison centenaire qui possède à la fois un patrimoine exceptionnel mais qui n’a cessé de se renouveler puisqu’elle existe toujours ! C’est une broderie universelle, qui ne cesse d’être réinterprétée, bousculée, renouvelée grâce à notre fameux esprit critique français. Notre engagement sur la dimension éco-responsable illustre une autre façon de s’ancrer dans l’époque. Nous travaillons à éliminer d’ici 2030 quasiment toutes les fournitures à base de pétrole et de plastique, privilégiant désormais les matières biosourcées comme les paillettes en cellulose. »

Hubert Barrère,

directeur artistique de Lesage depuis 2011

Mur d'inspiration dans le studio de création de Lesage, photo de Lucie Khahoutian.

Mur d’inspiration dans le studio de création de Lesage © le19M Photo-Lucie-Khahoutian

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Miniature Palais Galliera

De la mode en mouvement au Palais Galliera

En photo : Affiche de l’exposition « La mode en mouvement » au Palais Galliera  // Maillot Jantzen  par Henry Clarke, Vogue US, mai 1952 © Henry Clarke, Palais Galliera / Paris Musées

Affiche à la mode en mouvement Palais Galliera

Affiche de la mode en mouvement au Palais Galliera ©DR

C’est le deuxième volet de la sublime exposition dont le Palais s’achèvent, le musée de la Mode de Paris nous interroge, avec ses 200 œuvres, issues de ses collections privées auxquelles s’ajoutent des prêts exceptionnels du patrimoine Chanel, de la collection d’Émile Hermès, du Musée national du Sport de Nice, de la Fondation Azzedine Alaïa ou encore de la maison Yamamoto…, sur la place majeure qu’occupe le vêtement dans la pratique d’activités physiques et sportives, et les conséquences sociales forcément induites par cette évolution. Vaste sujet ! Une histoire de la mode du XVIIIe siècle à nos jours qui aborde la thématique de ce “corps en mouvement”, et qui pour mieux en saisir toutes les transformations, confronte la garde- robe de ville au vestiaire sportif. Costumes de bain, tenues de tennis ou de cycliste, salopette d’automobiliste ou encore sneakers, témoignent de ces trois siècles d’histoire fertiles de la mode. A travers des pièces rarement montrées au public, on découvre avec curiosité comment le vêtement sportif se “spécialise” progressivement, l’adaptation à la fin du XIXe siècle des tenues féminines pour l’exercice physique, la masculinisation du vêtement féminin ou encore, l’introduction du sportswear dans notre vestiaire quotidien. Une expo qui célèbre aussi et surtout, le rapport au corps et à son image, entre contrainte et liberté de mouvement. Au fil des époques, le sport se démocratise, le corps se libère, autant que les esprits, et les canons de beauté évoluent. C’est modeux, et passionnant !

La mode en mouvement #2

Jusqu’au 05 janvier 2025

Palais Galliera, Musée de la Mode de Paris, 75016, Paris

Maillots de bain Par Peter Knapp, 1971

Maillots de bain, par Peter Knapp, 1971 ; Swimwears, photo by Peter Knapp, 1971; © Peter Knapp, Palais Galliera / Paris Musées

Robe de tennis Borotra de Lucien Lelong, par Egidio Scaioni, 1925-1929

Robe de tennis Borotra de Lucien Lelong, par Egidio Scaioni, 1925-1929. Lucien Lelong ‘’Borotra’’ tennis dress, photo by Egidio Scaioni, 1925-1929.
© Egidio Scaioni, Palais Galliera / Paris Musées

maillot-deux-pieces-©Henry-Clarke-Palais-Calliera-Paris

Maillot deux pièces, par Henry Clarke, Vogue US, janvier 1955.
Two piece swimming costume, photo by Henry Clarke, Vogue US,
January 1955. © Henry Clarke, Palais Galliera / Paris Musées

 LE BOOM DE LA MODE BALNÉAIRE 

Après la Première Guerre, l’implantation de  succursales de maisons de couture dans les stations balnéaires révèle l’engouement du tourisme en bord de mer. Mais la véritable révolution autour de la dénudation du corps se déroule dans les années 1930, décennie au cours de laquelle les magazines tels que Vogue ou Harper’s Bazaar incitent les lectrices à pratiquer une activité sportive rigoureuse. L’injonction à une silhouette mince, tonique et à un teint hâlé pose ainsi les critères d’un nouvel idéal féminin abondamment relayé dans les pages de la presse féminine.

Ensemble Miu Miu

Ensemble, Miu Miu, prêt-à-porter PE, 2017. Miu Miu outfit, ready-to-wear SS, 2017 © Palais Galliera / Paris Musées.

Costume de bain

Costume de bain La Belle Jardinière, vers 1870. La Belle Jardinière Bathing costume, circa 1870. © Palais Galliera / Paris Musées

Si la marque italienne Prada défile à Milan, sa marque “sœur”, Miu Miu, présente ses collections à Paris depuis 1993. Baptisée d’après le prénom de sa fondatrice, Miuccia Prada, elle témoigne d’un style plus libre et plus rebelle. Cette collection s’inspire des tenues balnéaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale. L’imprimé du manteau, reprenant les motifs de papiers peints des années 70, évoque le scandale que provoqua la collection Prada de l’été 1996. Se servant de motifs similaires, cette dernière entraîna l’incompréhension d’une partie de la presse qui condamna son mauvais goût (avant de se raviser).

LE MAILLOT MASCULIN

Dès la seconde moitié du XIXe siècle et devant l’intérêt naissant pour les bains de mer, la tenue masculine s’est adaptée au milieu aquatique. Les costumes de mer masculins sont moulants, faits d’une seule pièce et confectionnés dans des tissus plus légers et souples (toiles de coton ou jerseys de laine). Les années 1930 voient un net rétrécissement des tenues de bain à l’avantage de la gent masculine : pour profiter des bains de soleil, alors jugés bénéfiques pour la santé, les hommes adoptent le maillot court, muni d’une ceinture et arborent un torse nu. Puis, il n’est plus question ensuite pour les hommes de se couvrir le haut du corps pour les activités de bord de mer et les modèles varient entre caleçon, short court ou simple slip de bain.

Maillot de bain pour homme

Maillot de bain pour homme, vers 1965. Swimming trunks, circa 1965.
© Palais Galliera /Paris Musées

Maillot Jantzen

 Maillot Jantzen, par Henry Clarke, Vogue US, mai 1952. Jantzen swimming costume, photo by Henry Clarke, Vogue US, May 1952.
© Henry Clarke, Palais Galliera / Paris Musées

À L’EAU !

Costumes de bain, maillots de bain, tenues et accessoires de plage sont les stars de la section balnéaire qui s’intéresse aux bains de mer et à la natation, symboles de la démocratisation de la pratique sportive dès la fin du XIXe siècle. On y découvre l’évolution du rapport au corps à travers son dévoilement dans la sphère publique, ainsi que la notion de pudeur et de décence, la transformation des canons de beauté, notamment à travers la question du bronzage.

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Couverture-Collier-tigre-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-vg-©-Maxime-Govet

Cartier, la quintessence du luxe !

En photo : couverture Cartier The Impossible Collection © Ed Assouline // Collier tigre, 2021 © Maxime Govet

Couverture-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline

C’est un livre pour rêver… d’élégance, de beauté, de raffinement, de belles histoires inédites sur la création des cent objets et bijoux Cartier les plus étonnants et innovants de la maison de joaillerie, réputée comme l’une des plus exclusives depuis le XIXe siècle.
Avec des boutiques à Paris, Londres et New York dès 1909, le joaillier, fort de sa fine expertise du marché des pierres précieuses, s’est rapidement imposé comme une figure internationale de renom, devenant le fournisseur officiel de nombreuses familles royales. Jean Cocteau, Alberto Santos- Dumont, le Maharaja de Nawanagar, la Duchesse de Windsor, Gloria Swanson ou encore la belle Elizabeth Taylor… ont eux aussi participé au développement et à l’influence du style Cartier. Que ce soient les créations iconiques de Jeanne Toussaint (sa légendaire directrice artistique) ou encore ses célèbres motifs panthère et Tutti Frutti : chaque nouvelle collection, fruit d’un savoir-faire technique exigeant, est un évènement. Cartier ne cesse de se distinguer par sa signature atemporelle, reconnaissable entre toutes !

Cartier
The Impossible Collection

Texte d’Hervé Dewintre.

224 pages, 195 illustrations.

Ed Assouline (assouline.com)

Collier-Hope-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Ullstein-Bild-Getty-Images.

Modèle tenant le collier « Hope » en diamants, 1958.
Acquis par Cartier en 1910, le diamant « Hope » est aujourd’hui exposé dans sa propre salle à la Smithsonian Institution, où il est admiré par des millions de visiteurs chaque année. © Ed Assouline © Ullstein Bild Getty Images

Bague-Saphir-emeraude-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Bague en saphir et émeraude, 2022. Dès ses débuts, Cartier a cherché à développer une grande variété de formes au sein de ses collections.  
© Ed Assouline © Maxime Govet

Tiare-en-citrine-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Vincent-Wulveryck

Tiare en citrine, 1937. Dans les années 1920, Cartier commença à ajouter des pierres semiprécieuses à ses pièces les plus importantes. Leurs couleurs inattendues séduisaient alors les adeptes du modernisme et du surréalisme. © Ed Assouline © Vincent Wulveryck

Collier-panthere-intaglio-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Collier panthère intaglio, 2021.
L’ancienne technique intaglio nécessite une dextérité extraordinaire afin de réaliser une sculpture en plusieurs dimensions. Le polissage du dos de la pierre précieuse doit se faire patiemment, rehaussant ainsi ses teintes fauves et la perfection de sa coupe.© Ed Assouline © Maxime Govet

Panthere-Kali-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Jean-Lariviere

La panthère Kali devant la boutique Cartier de la rue de la Paix, photographiée par Jean Larivière pour le magazine L’Égoïste, numéro 14, en 2000. 
© Ed Assouline © Jean Lariviere

Collier-tigre-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Collier tigre, 2021. L’expressivité saisissante des félins Cartier est obtenue à l’aide de nombreuses techniques artisanales qui représentent leur mouvement, leur physique, ainsi que leur réalisme et leur élégance. © Ed Assouline © Maxime Govet

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

©Courtesy of Burberry

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
expo centenaire surréalisme centre pompidou

Le centenaire du surréalisme fêté au Centre Pompidou

 

En photo : Affiche de l’exposition le centenaire du surréalisme  // Salvador Dali, Rêve causé par le vol d’une abeille autour d’une pomme-grenade, une seconde avant l’éveil vers 1944 ©Museo Nacional Thyssen-Bornemisza, Madrid

Expo centenaire surréalisme affiche Centre Pompidou

Affiche de l’exposition le centenaire du surréalisme ©DR

C’est un évènement, une exposition blockbuster à ne pas rater, qui célèbre en grande pompe, le 100e anniversaire du mouvement, né en 1924 avec la publication du Manifeste, texte fondateur du surréalisme d’André Breton. Issus des principales collections publiques et privées internationales, voici réunis sculptures, peintures, photographies, dessins, films, poésie ou documents littéraires… Des œuvres surréalistes venues de toutes les disciplines artistiques, des créations célèbres et emblématiques de la période, comme des œuvres plus confidentielles. À la fois chronologique et thématique, le parcours, rythmé en 14 chapitres, évoque l’évolution du mouvement dans les différents cercles artistiques, les figures littéraires qui l’ont inspiré (Lautréamont, Lewis Carroll, Sade…) et les principes poétiques qui structurent son imaginaire (l’artiste-médium, le rêve, la pierre philosophale, la forêt…), et surtout, l’héritage moderne laissé par le surréalisme dans l’art et les sociétés du XXIe siècle. Quarante années, de 1924 à 1969, d’une exceptionnelle effervescence créative ! Une certitude, la dissolution officielle du mouvement n’a pas marqué la fin de son influence sur l’art et la société, bien au contraire, car ce dernier continue bel et bien d’inspirer biennales d’art contemporain, cinéma, mode et bande dessinée, etc. Sa remise en question d’un modèle de civilisation fondé sur la rationalité technique, son intérêt pour des cultures qui ont su préserver le principe d’un monde unifié (comme celle des Indiens Hopi étudiée par André Breton en 1945), et son actualisation du grand sentiment de la Nature hérité du romantisme allemand atteste de son incroyable modernité. C’est fou, bizarre, intriguant, et captivant !

Surréalisme l’exposition du centenaire

Jusqu’au 13 janvier 2025

Place Georges-Pompidou, 75004 Paris

 centrepompidou.fr

PRECIEUX MANIFESTE

C’est l’un des textes les plus influents du XXe siècle, car ce grand texte théorique, Manifeste du surréalisme, n’est rien d’autre qu’une révolution majeure dans les arts. Voilà donc ce manuscrit original prêté pour l’occasion par la Bibliothèque nationale de France. Rédigé par André Breton en octobre 1924, ce document exceptionnel permet de mieux comprendre l’origine et le sens du mouvement artistique qu’il a fait naître. Exceptionnel !
Expo centenaire surréalisme Salvador Dali Centre Pompidou

L’EXPO QUI VOYAGE ! 

La bonne idée que cette exposition en “itinérance”, qui se réinterprète en fonction des contextes culturels et historiques de ses étapes de circulation : les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique à Bruxelles, la Fundación MAPFRE à Madrid (Espagne), la Kunsthalle de Hambourg (Allemagne) et le Philadelphia Museum of Art à Philadelphie (États-Unis). Ainsi Bruxelles, qui a ouvert le bal, a mis l’accent sur les liens entre le surréalisme et le symbolisme. À Madrid, une attention particulière est portée aux artistes ibériques tels que Salvador Dalí, Joan Miró, Julio González ou Luis Buñuel. À Hambourg, coups de projecteurs sur les liens entre le surréalisme et le romantisme allemand, tandis qu’à Philadelphie, l’exposition met en lumière les manifestations du surréalisme en Amérique latine. Quel programme ! > 4 février-11 mai 2025. Fundación MAPFRE à Madrid, Espagne. 12 juin-12 octobre 2025. Kunsthalle de Hambourg, Allemagne. Fin 2025-début 2026. Philadelphia Museum of Art, Philadelphie, États-Unis.

Salvador Dali, Rêve causé par le vol d’une abeille autour d’une pomme-grenade, une seconde avant l’éveil vers 1944.
Huile sur toile 51 x 41 cm. 
©Museo Nacional Thyssen-Bornemisza, Madrid

ON Y VA POUR ADMIRER…

Le Grand Masturbateur de Salvador Dalí (Musée Reina Sofía), Les Valeurs personnelles de René Magritte (Musée d’art moderne de San Francisco), Le Cerveau de l’enfant (Moderna Museet de Stockholm) et le Chant d’amour (MoMA de New York) de Giorgio de Chirico, La Grande Forêt de Max Ernst (Musée de Bâle), Chien aboyant à la lune de Joan Miró (Philadelphia Museum of Art), etc. Mais aussi, un surréalisme au féminin assumé par Leonora Carrington, Remedios Varo, Dora Maar ou encore Dorothea Tanning, et des artistes internationaux qui ont rejoint le mouvement : Tatsuo Ikeda (Japon), Helen Lundeberg (États-Unis), Wilhelm Freddie (Danemark), Rufino Tamayo (Mexique)…

Expo centenaire surréalisme Dora Maar Centre Pompidou

Dora Maar, sans titre [Main-coquillage], 1934. 
Épreuve gélatinoargentique, 40,1 x 28,9 cm, 37,5 x 27 cm (hors marge),coll. MNAM / Centre Pompidou. © Centre Pompidou

  « Je crois à la résolution future de deux états, en apparence si contradictoires que sont le rêve et la réalité, en une sorte de réalité absolue, la surréalité (…) c’est à sa conquête que je vais »

André Breton

Centre Pompidou expo centenaire surréalisme

 

©Centre Pompidou

 

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Couverture-Les-foulards-Dior-Vig-©Brigitte-Niedermair

Les foulards Dior, la plus belle des histoires de mode !

En photo : couverture Les Foulards Dior. Histoires de mode © Ed Thames & Hudson // © Dior jungle Pop, printemps-été 2022. © Brigitte Niedermair

Couverture-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

C’est un sublime ouvrage-portfolio qui “montre” la multitude d’inspirations des carrés de soie et leur rôle au sein de la Maison, de Christian Dior à Maria Grazia Chiuri, sa directrice artistique de Dior femme. Le foulard, pièce d’exception et élément central de la garde-robe, raconte à travers la diversité de ses imprimés, la virtuosité des savoir-faire d’une marque ou la vision artistique d’un créateur. Autour du cou, du poignet, d’un visage, dans une coiffure, embrassant la taille, égayant un accessoire ou porté tel un manifeste, le foulard pare chaque look d’une élégance subtile. Pour Monsieur Dior, « le détail est aussi important que l’essentiel », alors on admire ici avec le sens du détail, ces 425 foulards immortalisés par la photographe Brigitte Niedermair et classés par thèmes et inspirations (la grotte de Lascaux, l’art moderne et contemporain, le pop art, le Nouveau Réalisme, l’abstraction, la cartographie de Paris, etc.). On se régale des textes de référence de ces historiennes de la mode de renom (Maria Luisa Frisa, Claire Allen-Johnstone, Émilie Hammen…) sur le sujet. Précieux éclairages historiques et techniques sur des artisanats séculaires qui oeuvrent dans le secret des manufactures, conjugués aux innovations les plus pointues. 
C’est soyeux, si haute couture !

Les Foulards Dior.
Histoires de mode

Sous la direction de Maria Luisa Frisa.

760 pages, 500 illustrations.

Editions Thames & Hudson (thamesandhudson.fr)

automne-2023-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Toile de Jouy Voyage, automne 2023. ©Brigitte Niedermair

automne-hiver-2021-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Mizza, automne hiver 2021.
©Brigitte Niedermair

automne-hiver-2021-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair-1

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Dior Oblique, automne-hiver 2021. ©Brigitte Niedermair

automne-2023-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair-1

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Étoile de voyage, automne 2023. ©Brigitte Niedermair

boutique-Colifichets-Les-foulards-Dior-©Association-Willy-Maywald-Adagp-Paris-2024

La boutique Colifichets du 30, avenue Montaigne, en 1949.
©Association Willy Maywald/Adagp Paris, 2024

printemps-ete-2022-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Dior jungle Pop, printemps-été 2022. ©Brigitte Niedermair

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Couverture-Eternel-SENNA-LunettesGalerie-vig

Ayrton Senna l’éternel

En photo :  ÉTERNEL SENNA © Ed Glenat // © Ed Glenat 

Couverture-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

Immortel, le triple champion du monde de F1, l’est devenu dans les cœurs de ses milliers de fans et de ses spectateurs, ce triste 1er jour de mai 1984, où sa voiture finissait violemment sa course dans le mur d’un des nombreux virages du circuit italien d’Imola. Nul besoin du drame pour qu’il devienne un mythe, il l’était déjà… de son vivant ! A l’occasion du trentième anniversaire de son décès, voici l’indispensable livre hommage : Daniel Ortelli, Thomas Woloch et le photographe Dominique Leroy (témoin privilégié de la carrière d’Ayrton Senna) se sont penchés sur l’histoire du Brésilien depuis ses débuts en Formule 1 en 1984, jusqu’à sa dernière saison chez Williams dix ans plus tard. Tout y est, clichés à l’appui ! De sa révélation en F1 à sa consécration en 1988, sa revanche avec Prost en 1989 (et ses retrouvailles en 1993), son 2e titre mondial en 1990, son duel McLaren Williams en 1992, et son dernier tour de piste en 1994. Son caractère, ses points forts, ses faiblesses, ses moments de joie ou de doutes, on y découvre tous les moments forts de la carrière de celui que l’on appelait “Beco” ou « Magic ». Histoires, anecdotes et 22 interviews inédites de ceux (Jean Alesi, Gerhard Berger, Jacky Ickx, Felipe Massa, Thierry Boutsen…) qui l’ont cotoyé en F1 (avec des versions d’entretiens filmés accessibles via un QR code), redonnent vie à cette légende mondiale du sport automobile, déifié au Brésil. Preuve que l’homme de São Paulo, continue toujours de fasciner !

ÉTERNEL SENNA

Par Daniel Ortelli, Thomas Woloch
Photographe Dominique Leroy

224 pages

Ed Glenat (glenat.com)

Extrait-3-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

© Ed Glenat

Extrait-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

© Ed Glenat

« J’ai toujours pensé qu’Ayrton était le meilleur pilote de l’histoire de la F1 »

 

Gerhard Berger

Extrait-4-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

© Ed Glenat

Extrait-2-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

© Ed Glenat

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Couverture-IC-Rolex-Vig-©-ed-assouline-©-Clive-Brunskill-Getty-Images

Rolex, la marque légendaire la plus convoitée au monde !

En photo : ROLEX : THE IMPOSSIBLE COLLECTION © Ed Assouline // Roger Federer, 2017 © Clive Brunskill/Getty Images

Couverture-IC-Rolex-©-ed-assouline
ROLEX : THE IMPOSSIBLE COLLECTION.

The 100 most exceptional watch models.

2e édition, texte Fabienne Reybaud,
196 pages, 200 illustrations

Ed Assouline (assouline.com)

Quintessence de la montre de luxe, signe ostentatoire de pouvoir, ou symbole culte du passage à l’âge adulte… Depuis toujours, Rolex passionne ! Preuve en est, la vente record de la Daytona de Paul Newman, vendue en 2017 aux enchères à New York pour 17,8 millions de dollars.

Les styles se succèdent ? La marque horlogère elle, ne change pas ! Et c’est la plus collectionnée au monde. En 1905, le jeune Wilsdorf fonde à Londres une société de distribution de montres, mais son rêve est de produire des montres-bracelets qui soient techniquement fiables et suprêmement élégantes. Cette quête de précision le conduit à concevoir la première montre-bracelet au monde à recevoir le certificat suisse de précision chronométrique, délivré par le Centre officiel de classification des montres de Bienne, en 1910. 4 ans plus tard, l’Observatoire de Kew, en Grande-Bretagne, décerne à une montre Rolex un certificat de classe A, distinction jusqu’alors exclusivement réservée aux chronomètres de marine. Depuis lors, la montre-bracelet Rolex est synonyme de précision. De la 1ère montre-bracelet des années 1900 à la 1ère Oyster Perpetual de 1931, en passant par l’Explorer (portée par Sir Hillary au sommet de l’Everest en 1953) et la Submariner, au poignet de James Bond, alias George Lazenby, dans le film Au service secret de Sa Majesté…les voilà toutes, précieuses, uniques, inédites, réunies dans cet ouvrage exceptionnel !

Rolex-Chronographe-6034-et-6238-Lunettes-Galerie-©-Harald-Gottschalk

Chronographe antimagnétique du début des années 1950,
réf. 6034, avec cadran « Tropical », ayant appartenu à Eric Clapton.
© Harald Gottschalk

1965 Chronographe, Réf. 6238, « Pre-Daytona ».
Il a été porté par l’acteur George Lazenby dans le rôle de James Bond dans le film de 1969 Au service secret de Sa Majesté.
© Harald Gottschalk

Rolex-Deep-Sea-Special-No1-Cosmographe-6269-Lunettes-Galerie-©-Christies-Bridgeman-Images

1953 Deep Sea Special No. 1, Prototype. Cette montre a été transportée à l’extérieur du bathyscaphe Trieste, qui est descendu à une profondeur de 3 150 mètres (10 335 pieds), un record à l’époque. © Christie’s/Bridgeman Images

Cosmograph Daytona 1985, Réf. 6269, « Jack of Diamonds ». ©Christie’s/Bridgeman Images

Rolex-Cosmograph-6239-Lunettes-Galerie-©-Harald-Gottschalk

Cosmograph Daytona 1966, Réf. 6239, « Paul Newman NASA ». Cette montre a appartenu à l’astronaute américain Walter Cunningham, pilote principal de la mission Apollo 7. © Harald Gottschalk

Roger-Federer-Lunettes-Galerie-©-Clive-Brunskill-Getty-Images

Roger Federer remporte l’Open d’Australie, 2017. © Clive Brunskill/Getty Images

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Couverture-James-Bond-Dr-No-Vig-©-Ed-Taschen-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

Dans les coulisses de l’intrépide James Bond 007 contre Dr. No

En photo : JAMES BOND Dr. NO © Ed Taschen // DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC.

Couverture-James-Bond-Dr-No-©-Ed-Taschen

C’est une captivante immersion dans la création de Bond et de son univers cinématographique, un livre qui se dévore tel un roman, raconté de l’intérieur par ceux qui ont vécu ce tournage ! Voici le récit complet des coulisses du premier film de la saga sorti en salles, James Bond 007 contre Dr No (1962), celui-là même qui a lancé sur les écrans du monde entier le personnage du plus célèbre agent secret britannique de sa Majesté, créé en 1953 par Ian Flemming. Il a été le héros de 25 films produits par EON, incarné par six acteurs sur plus de sept décennies. Pour que cette incroyable histoire soit racontée, EON Productions a ouvert à Taschen ses archives de photos, notes de travail, affiches, croquis et documents de tournage. Plus de 1007 images inédites nous invitent ainsi à un bond dans le passé en compagnie d’acteurs de prestige. De quoi rêver d’aventures, nous aussi !

JAMES BOND    Dr. NO

Paul Duncan
492 pages. Edition d’Art (numérotée de 251 à 500)
et Edition collector numérotée (No 501-1.962).

Ed Taschen
(taschen.com)

James-Bond-Sean-Connery-2-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC

Sean Connery n’a pas passé d’audition pour Dr. No, mais il a posé pour des photos, habillé en James Bond. Celles-ci ont été présentées par le producteur Cubby Broccoli aux dirigeants d’United Artists pour qu’ils les examinent.

James-Bond-Sean-Connery-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC-

James Bond (Sean Connery) maîtrise Quarrel et PussFeller, puis les tient en joue.
DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC.

James-Bond-Ursula-Andress-Lunettes-Galerie-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

Ursula Andress habillée en Honey Ryder en Jamaïque.
DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Couverture-Benetti-Lunettes-Galerie-Vig-c-Ed-Assouline

L’art suprême du nautisme… signé Benetti

En photo : BENETTI © Ed Assouline // ©Tom Van Oossanen

Couverture-Benetti-c-Ed-Assouline

BENETTI

Texte Kevin Koening
292 pages (plus de 200 illustrations)

Huile sur toile 93,3 x 111,5 cm Washington, The National Gallery of Art,

Ed Assouline (assouline.com)

C’est un livre anniversaire, hommage à la marque, mais surtout aux extraordinaires navires que le groupe Benetti a imaginés. Pour lui, la réalisation des rêves n’est pas une nouveauté, c’est un mode de vie pour ce constructeur qui œuvre depuis 150 ans. Avec plus de 400 yachts construits à ce jour, Benetti est un pionnier de la construction nautique et incarne LA référence de construction navale. Ce qui a débuté comme des voiliers en bois pour des pêcheurs s’est transformé en yachts à vapeur avant de devenir des giga-yachts à la pointe de la technologie, fleurons de l’’innovation. Du El Caran de David Bowie au Delfino de 18 mètres (considéré comme le 1er yacht de luxe au monde) et l’IJE de 108 mètres (le plus grand jamais créé par Benetti), voilà mis en lumière sa clientèle exclusive (dont Zlatan Ibrahimović), les artisans et designers de la marque. Son histoire montre son engagement en faveur de la durabilité et son dévouement à l’innovation. Une liberté et une passion au service d’une créativité sans limite ! 

Benetti-Lunettes-Galerie-©-Jeff-Brown_Breed-Media

© Jeff Brown / Breed Media

Benetti-Lunettes-Galerie-©-Alessandro-Guerrieri

© Alessandro Guerrieri

© Breed Media

Benetti-Lunettes-Galerie©-Tom-Van-Oossanen

©Tom Van Oossanen

A lire aussi...

Steve-McQueen-Lunettes-Galerie.com
Regard Culturel
Carine Bruet

La Galerie de l’Instant a 20 ans

  En photo : Steve McQueen, Los Angeles, 1963 © John Dominis / Life picture Collection / La Galerie de l’Instant Marilyn Monroe, New York, 1957 ©Sam Shaw / La Galerie

LIRE LA SUITE
Image de Carine Bruet

Carine Bruet

0 comments
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Newer Posts