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Regard Culturel

La bible des voitures d’exception

 

En photo : couverture RARE CARS The world’s most exclusive rides © DR //  Pagani Zonda HP Barchetta, 2022 © Pagani Automobili

Couverture livre Rare Cars

RARE CARS The world’s most exclusive rides. Texte d’A.J. Baime. 312 pages, plus de 200 illustrations dans un coffret en métal fait-main. Ed Assouline (assouline.com) ©DR

Passionnés de la première heure, amoureux de belles mécaniques ou collectionneurs invétérés…, ce livre est fait pour vous ! Dans ces pages, le célèbre journaliste automobile A.J. Baime a recensé plus de quarante voitures produites de 1931 à nos jours, dont beaucoup ont désormais une valeur de plusieurs dizaines de millions de dollars. Voici les modèles les plus célèbres au monde, comme la Toyota 200GT Roaster conçue pour le film James Bond, On Ne Vit Que Deux Fois (1967) ; la tristement célèbre Porsche 550 Spyder de James Dean, ou l’une des Ferrari préférées de Ralph Lauren. Mais aussi, d’autres“chefs-d’œuvre”, comme la première Ferrari (la 125 S datant de 1947), propulsée par le révolutionnaire V-12 Colombo, vainqueur en course ; la DeLorean plaquée or 24 carats, star de la campagne de publicité d’American Express ; le coupé Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut de 1955, vendu pour la somme record de 142 millions de dollars, ou ce modèle électrique devenu culte et créé par un adolescent croate (la Rimac Nevera Time Attack)… C’est une plongée rutilante dans l’épopée du design automobile, une certaine idée du rêve, à feuilleter sans modération.

orsche 917 « Art Car », 1970. © Michael Furman for Simeone Automotive Museum

Porsche 917 « Art Car », 1970 © Michael Furman for Simeone Automotive Museum

Spyker C8 Laviolette, 2001
© Ted7 LLC

Le propriétaire d’Aston Martin, David Brown (à gauche), inspecte le modèle en argile d’une Aston Martin avec Frank Feeley, le designer de la marque, au studio de design Feltham, en 1954. © Popperfoto via Getty Images/Getty Images

Le propriétaire d’Aston Martin, David Brown (à gauche), inspecte le modèle en argile d’une Aston Martin avec Frank Feeley, le designer de la marque, au studio de design Feltham, en 1954 © Popperfoto via Getty Images/Getty Images

Bizzarrini P538, 1967. 38 © Michael Furman for Simeone Automotive Museum

 Bizzarrini P538, 1967 © Michael Furman for Simeone Automotive Museum

Pagani Zonda HP Barchetta, 2022.© Pagani Automobili

Pagani Zonda HP Barchetta, 2022 © Pagani Automobili

Alfa Romeo 8C P3 Tipo B Monoposto, 1934. © Tim Scott/Fluid Images

Alfa Romeo 8C P3 Tipo B Monoposto, 1934 © Tim Scott/Fluid Images

McLaren F1 LM, 1995 © Tim Scott/Fluid Images

McLaren F1 LM, 1995 © Tim Scott/Fluid Images

W Motors Lykan HyperSport, 2016 © W Motors

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Carine Bruet

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Charlotte Perriand : un design au sommet

En photo : couverture Charlotte Perriand la montagne inspirée, Pascale Nivelle ©Editions Paulsen /  Arc 1800, le mont Blanc veille sur les Arcs ©Pernette Perriand ©Archives Charlotte Perriand ADAGP 2024

Charlotte Perriand la montagne inspirée, Pascale Nivelle ©Editions Paulsen

C’est dans la nature que cette pionnière du design et créatrice surdouée, trouvait son inspiration. La montagne, fil conducteur de la vie et de la foisonnante carrière de Charlotte Perriand pendant 70 ans (depuis l’esquisse de son refuge Bivouac bricolé avec les moyens du bord jusqu’à la conception de la station de ski des Arcs dans les années 1960-1970). Pour cette visionnaire, écologiste avant l’heure, inventrice d’un nouvel art d’habiter au XXe
siècle : des formes, des meubles (qu’elle conçut dans l’atelier de Le Corbusier puis seule), des espaces salués dans le monde entier… aucune mondanité ne valait une partie d’escalade ou une balade à peaux de phoque dans le massif de la Vanoise. « Cette conquête de la montagne a eu beaucoup d’influence sur mon comportement dans ma vie professionnelle. Quand les choses sont difficiles, je ne les abandonne pas, je continue jusqu’au bout même si c’est extrêmement pénible. » Alpiniste chevronnée, elle a arpenté les sommets en Europe et au Japon, skiant même jusqu’à 75 ans. Peu importe l’exploit, « lui suffisaient l’amitié des cordées, la chaleur humaine des refuges et la satisfaction de l’effort accompli quand elle touchait un sommet chèrement grimpé », note l’auteur qui avec moults détails, relate ici la relation de cette femme engagée, joyeuse et intrépide, avec cette montagne, sa perpétuelle “recréation”. Etayé de photos incroyables, ce livre est un grand bol d’air pur : magnifique !

Charlotte-Perriand-et-deux-bergers-en-1936

Charlotte Perriand avec des bergers en Haut-Provence, 1936 ©Archives Charlotte Perriand – ADAGP 2024

Le refuge Bivouac en janvier 1939. Légèrement à gauche de l’axe de la croix : le sommet du mont Blanc. Photo Charlotte Perriand ©Arch Charlotte Perriand ADAGP

Charlotte-Perriand-Refuge-des-Evettes-

La stryge de Notre-Dame, oeuvre de Viollet-le-Duc, semble méditer devant le spectacle de Paris à ses pieds © Sylvain Sonnet

Fauteuil-pour-lhotel-Doron-a-Meribel-en-1947-Photo-Marie-Clerin-Laffanour-Galerie-Paris.

Fauteuil pour l’hôtel Doron à Méribel en 1947 ©Marie Clérin- Laffanour
Galerie Paris

Arc_1800-Le-mont-Blanc-veille-sur-les-Arcs-Photo-Pernette-Perriand-©ArchivesCharlotte-Perriand-ADAGP-

Aux Arcs, à partir de 1968, Charlotte Perriand peut enfin affirmer sa vision d’une station intégrée, sans voitures, avec des immeubles habillés de bois, épousant la pente. Ce grand projet va l’occuper pendant 20 ans. Photo : Arc 1800, le mont Blanc veille sur les Arcs ©Pernette Perriand ©Archives Charlotte Perriand ADAGP 2024

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Carine Bruet

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Couverture-Collier-tigre-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-vg-©-Maxime-Govet

Cartier, la quintessence du luxe !

En photo : couverture Cartier The Impossible Collection © Ed Assouline // Collier tigre, 2021 © Maxime Govet

Couverture-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline

C’est un livre pour rêver… d’élégance, de beauté, de raffinement, de belles histoires inédites sur la création des cent objets et bijoux Cartier les plus étonnants et innovants de la maison de joaillerie, réputée comme l’une des plus exclusives depuis le XIXe siècle.
Avec des boutiques à Paris, Londres et New York dès 1909, le joaillier, fort de sa fine expertise du marché des pierres précieuses, s’est rapidement imposé comme une figure internationale de renom, devenant le fournisseur officiel de nombreuses familles royales. Jean Cocteau, Alberto Santos- Dumont, le Maharaja de Nawanagar, la Duchesse de Windsor, Gloria Swanson ou encore la belle Elizabeth Taylor… ont eux aussi participé au développement et à l’influence du style Cartier. Que ce soient les créations iconiques de Jeanne Toussaint (sa légendaire directrice artistique) ou encore ses célèbres motifs panthère et Tutti Frutti : chaque nouvelle collection, fruit d’un savoir-faire technique exigeant, est un évènement. Cartier ne cesse de se distinguer par sa signature atemporelle, reconnaissable entre toutes !

Cartier
The Impossible Collection

Texte d’Hervé Dewintre.

224 pages, 195 illustrations.

Ed Assouline (assouline.com)

Collier-Hope-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Ullstein-Bild-Getty-Images.

Modèle tenant le collier « Hope » en diamants, 1958.
Acquis par Cartier en 1910, le diamant « Hope » est aujourd’hui exposé dans sa propre salle à la Smithsonian Institution, où il est admiré par des millions de visiteurs chaque année. © Ed Assouline © Ullstein Bild Getty Images

Bague-Saphir-emeraude-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Bague en saphir et émeraude, 2022. Dès ses débuts, Cartier a cherché à développer une grande variété de formes au sein de ses collections.  
© Ed Assouline © Maxime Govet

Tiare-en-citrine-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Vincent-Wulveryck

Tiare en citrine, 1937. Dans les années 1920, Cartier commença à ajouter des pierres semiprécieuses à ses pièces les plus importantes. Leurs couleurs inattendues séduisaient alors les adeptes du modernisme et du surréalisme. © Ed Assouline © Vincent Wulveryck

Collier-panthere-intaglio-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Collier panthère intaglio, 2021.
L’ancienne technique intaglio nécessite une dextérité extraordinaire afin de réaliser une sculpture en plusieurs dimensions. Le polissage du dos de la pierre précieuse doit se faire patiemment, rehaussant ainsi ses teintes fauves et la perfection de sa coupe.© Ed Assouline © Maxime Govet

Panthere-Kali-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Jean-Lariviere

La panthère Kali devant la boutique Cartier de la rue de la Paix, photographiée par Jean Larivière pour le magazine L’Égoïste, numéro 14, en 2000. 
© Ed Assouline © Jean Lariviere

Collier-tigre-Cartier-The-Impossible-Collection-Ed-Assouline-©-Maxime-Govet

Collier tigre, 2021. L’expressivité saisissante des félins Cartier est obtenue à l’aide de nombreuses techniques artisanales qui représentent leur mouvement, leur physique, ainsi que leur réalisme et leur élégance. © Ed Assouline © Maxime Govet

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Carine Bruet

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Carine Bruet

©Courtesy of Burberry

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Couverture-Les-foulards-Dior-Vig-©Brigitte-Niedermair

Les foulards Dior, la plus belle des histoires de mode !

En photo : couverture Les Foulards Dior. Histoires de mode © Ed Thames & Hudson // © Dior jungle Pop, printemps-été 2022. © Brigitte Niedermair

Couverture-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

C’est un sublime ouvrage-portfolio qui “montre” la multitude d’inspirations des carrés de soie et leur rôle au sein de la Maison, de Christian Dior à Maria Grazia Chiuri, sa directrice artistique de Dior femme. Le foulard, pièce d’exception et élément central de la garde-robe, raconte à travers la diversité de ses imprimés, la virtuosité des savoir-faire d’une marque ou la vision artistique d’un créateur. Autour du cou, du poignet, d’un visage, dans une coiffure, embrassant la taille, égayant un accessoire ou porté tel un manifeste, le foulard pare chaque look d’une élégance subtile. Pour Monsieur Dior, « le détail est aussi important que l’essentiel », alors on admire ici avec le sens du détail, ces 425 foulards immortalisés par la photographe Brigitte Niedermair et classés par thèmes et inspirations (la grotte de Lascaux, l’art moderne et contemporain, le pop art, le Nouveau Réalisme, l’abstraction, la cartographie de Paris, etc.). On se régale des textes de référence de ces historiennes de la mode de renom (Maria Luisa Frisa, Claire Allen-Johnstone, Émilie Hammen…) sur le sujet. Précieux éclairages historiques et techniques sur des artisanats séculaires qui oeuvrent dans le secret des manufactures, conjugués aux innovations les plus pointues. 
C’est soyeux, si haute couture !

Les Foulards Dior.
Histoires de mode

Sous la direction de Maria Luisa Frisa.

760 pages, 500 illustrations.

Editions Thames & Hudson (thamesandhudson.fr)

automne-2023-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Toile de Jouy Voyage, automne 2023. ©Brigitte Niedermair

automne-hiver-2021-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Mizza, automne hiver 2021.
©Brigitte Niedermair

automne-hiver-2021-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair-1

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Dior Oblique, automne-hiver 2021. ©Brigitte Niedermair

automne-2023-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair-1

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Étoile de voyage, automne 2023. ©Brigitte Niedermair

boutique-Colifichets-Les-foulards-Dior-©Association-Willy-Maywald-Adagp-Paris-2024

La boutique Colifichets du 30, avenue Montaigne, en 1949.
©Association Willy Maywald/Adagp Paris, 2024

printemps-ete-2022-Les-foulards-Dior-©Brigitte-Niedermair

©Maria Grazia Chiuri pour Christian Dior, Dior jungle Pop, printemps-été 2022. ©Brigitte Niedermair

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Carine Bruet

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Couverture-Eternel-SENNA-LunettesGalerie-vig

Ayrton Senna l’éternel

En photo :  ÉTERNEL SENNA © Ed Glenat // © Ed Glenat 

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Immortel, le triple champion du monde de F1, l’est devenu dans les cœurs de ses milliers de fans et de ses spectateurs, ce triste 1er jour de mai 1984, où sa voiture finissait violemment sa course dans le mur d’un des nombreux virages du circuit italien d’Imola. Nul besoin du drame pour qu’il devienne un mythe, il l’était déjà… de son vivant ! A l’occasion du trentième anniversaire de son décès, voici l’indispensable livre hommage : Daniel Ortelli, Thomas Woloch et le photographe Dominique Leroy (témoin privilégié de la carrière d’Ayrton Senna) se sont penchés sur l’histoire du Brésilien depuis ses débuts en Formule 1 en 1984, jusqu’à sa dernière saison chez Williams dix ans plus tard. Tout y est, clichés à l’appui ! De sa révélation en F1 à sa consécration en 1988, sa revanche avec Prost en 1989 (et ses retrouvailles en 1993), son 2e titre mondial en 1990, son duel McLaren Williams en 1992, et son dernier tour de piste en 1994. Son caractère, ses points forts, ses faiblesses, ses moments de joie ou de doutes, on y découvre tous les moments forts de la carrière de celui que l’on appelait “Beco” ou « Magic ». Histoires, anecdotes et 22 interviews inédites de ceux (Jean Alesi, Gerhard Berger, Jacky Ickx, Felipe Massa, Thierry Boutsen…) qui l’ont cotoyé en F1 (avec des versions d’entretiens filmés accessibles via un QR code), redonnent vie à cette légende mondiale du sport automobile, déifié au Brésil. Preuve que l’homme de São Paulo, continue toujours de fasciner !

ÉTERNEL SENNA

Par Daniel Ortelli, Thomas Woloch
Photographe Dominique Leroy

224 pages

Ed Glenat (glenat.com)

Extrait-3-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

© Ed Glenat

Extrait-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

© Ed Glenat

« J’ai toujours pensé qu’Ayrton était le meilleur pilote de l’histoire de la F1 »

 

Gerhard Berger

Extrait-4-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

© Ed Glenat

Extrait-2-Eternel-SENNA-LunettesGalerie

© Ed Glenat

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Couverture-IC-Rolex-Vig-©-ed-assouline-©-Clive-Brunskill-Getty-Images

Rolex, la marque légendaire la plus convoitée au monde !

En photo : ROLEX : THE IMPOSSIBLE COLLECTION © Ed Assouline // Roger Federer, 2017 © Clive Brunskill/Getty Images

Couverture-IC-Rolex-©-ed-assouline
ROLEX : THE IMPOSSIBLE COLLECTION.

The 100 most exceptional watch models.

2e édition, texte Fabienne Reybaud,
196 pages, 200 illustrations

Ed Assouline (assouline.com)

Quintessence de la montre de luxe, signe ostentatoire de pouvoir, ou symbole culte du passage à l’âge adulte… Depuis toujours, Rolex passionne ! Preuve en est, la vente record de la Daytona de Paul Newman, vendue en 2017 aux enchères à New York pour 17,8 millions de dollars.

Les styles se succèdent ? La marque horlogère elle, ne change pas ! Et c’est la plus collectionnée au monde. En 1905, le jeune Wilsdorf fonde à Londres une société de distribution de montres, mais son rêve est de produire des montres-bracelets qui soient techniquement fiables et suprêmement élégantes. Cette quête de précision le conduit à concevoir la première montre-bracelet au monde à recevoir le certificat suisse de précision chronométrique, délivré par le Centre officiel de classification des montres de Bienne, en 1910. 4 ans plus tard, l’Observatoire de Kew, en Grande-Bretagne, décerne à une montre Rolex un certificat de classe A, distinction jusqu’alors exclusivement réservée aux chronomètres de marine. Depuis lors, la montre-bracelet Rolex est synonyme de précision. De la 1ère montre-bracelet des années 1900 à la 1ère Oyster Perpetual de 1931, en passant par l’Explorer (portée par Sir Hillary au sommet de l’Everest en 1953) et la Submariner, au poignet de James Bond, alias George Lazenby, dans le film Au service secret de Sa Majesté…les voilà toutes, précieuses, uniques, inédites, réunies dans cet ouvrage exceptionnel !

Rolex-Chronographe-6034-et-6238-Lunettes-Galerie-©-Harald-Gottschalk

Chronographe antimagnétique du début des années 1950,
réf. 6034, avec cadran « Tropical », ayant appartenu à Eric Clapton.
© Harald Gottschalk

1965 Chronographe, Réf. 6238, « Pre-Daytona ».
Il a été porté par l’acteur George Lazenby dans le rôle de James Bond dans le film de 1969 Au service secret de Sa Majesté.
© Harald Gottschalk

Rolex-Deep-Sea-Special-No1-Cosmographe-6269-Lunettes-Galerie-©-Christies-Bridgeman-Images

1953 Deep Sea Special No. 1, Prototype. Cette montre a été transportée à l’extérieur du bathyscaphe Trieste, qui est descendu à une profondeur de 3 150 mètres (10 335 pieds), un record à l’époque. © Christie’s/Bridgeman Images

Cosmograph Daytona 1985, Réf. 6269, « Jack of Diamonds ». ©Christie’s/Bridgeman Images

Rolex-Cosmograph-6239-Lunettes-Galerie-©-Harald-Gottschalk

Cosmograph Daytona 1966, Réf. 6239, « Paul Newman NASA ». Cette montre a appartenu à l’astronaute américain Walter Cunningham, pilote principal de la mission Apollo 7. © Harald Gottschalk

Roger-Federer-Lunettes-Galerie-©-Clive-Brunskill-Getty-Images

Roger Federer remporte l’Open d’Australie, 2017. © Clive Brunskill/Getty Images

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Couverture-James-Bond-Dr-No-Vig-©-Ed-Taschen-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

Dans les coulisses de l’intrépide James Bond 007 contre Dr. No

En photo : JAMES BOND Dr. NO © Ed Taschen // DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC.

Couverture-James-Bond-Dr-No-©-Ed-Taschen

C’est une captivante immersion dans la création de Bond et de son univers cinématographique, un livre qui se dévore tel un roman, raconté de l’intérieur par ceux qui ont vécu ce tournage ! Voici le récit complet des coulisses du premier film de la saga sorti en salles, James Bond 007 contre Dr No (1962), celui-là même qui a lancé sur les écrans du monde entier le personnage du plus célèbre agent secret britannique de sa Majesté, créé en 1953 par Ian Flemming. Il a été le héros de 25 films produits par EON, incarné par six acteurs sur plus de sept décennies. Pour que cette incroyable histoire soit racontée, EON Productions a ouvert à Taschen ses archives de photos, notes de travail, affiches, croquis et documents de tournage. Plus de 1007 images inédites nous invitent ainsi à un bond dans le passé en compagnie d’acteurs de prestige. De quoi rêver d’aventures, nous aussi !

JAMES BOND    Dr. NO

Paul Duncan
492 pages. Edition d’Art (numérotée de 251 à 500)
et Edition collector numérotée (No 501-1.962).

Ed Taschen
(taschen.com)

James-Bond-Sean-Connery-2-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC

Sean Connery n’a pas passé d’audition pour Dr. No, mais il a posé pour des photos, habillé en James Bond. Celles-ci ont été présentées par le producteur Cubby Broccoli aux dirigeants d’United Artists pour qu’ils les examinent.

James-Bond-Sean-Connery-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC-

James Bond (Sean Connery) maîtrise Quarrel et PussFeller, puis les tient en joue.
DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC.

James-Bond-Ursula-Andress-Lunettes-Galerie-©-1962-Metro-Goldwyn-Mayer-Studios-Inc-et-Danjaq-LLC

Ursula Andress habillée en Honey Ryder en Jamaïque.
DR NO © 1962 Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. et Danjaq, LLC

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Couverture-Benetti-Lunettes-Galerie-Vig-c-Ed-Assouline

L’art suprême du nautisme… signé Benetti

En photo : BENETTI © Ed Assouline // ©Tom Van Oossanen

Couverture-Benetti-c-Ed-Assouline

BENETTI

Texte Kevin Koening
292 pages (plus de 200 illustrations)

Huile sur toile 93,3 x 111,5 cm Washington, The National Gallery of Art,

Ed Assouline (assouline.com)

C’est un livre anniversaire, hommage à la marque, mais surtout aux extraordinaires navires que le groupe Benetti a imaginés. Pour lui, la réalisation des rêves n’est pas une nouveauté, c’est un mode de vie pour ce constructeur qui œuvre depuis 150 ans. Avec plus de 400 yachts construits à ce jour, Benetti est un pionnier de la construction nautique et incarne LA référence de construction navale. Ce qui a débuté comme des voiliers en bois pour des pêcheurs s’est transformé en yachts à vapeur avant de devenir des giga-yachts à la pointe de la technologie, fleurons de l’’innovation. Du El Caran de David Bowie au Delfino de 18 mètres (considéré comme le 1er yacht de luxe au monde) et l’IJE de 108 mètres (le plus grand jamais créé par Benetti), voilà mis en lumière sa clientèle exclusive (dont Zlatan Ibrahimović), les artisans et designers de la marque. Son histoire montre son engagement en faveur de la durabilité et son dévouement à l’innovation. Une liberté et une passion au service d’une créativité sans limite ! 

Benetti-Lunettes-Galerie-©-Jeff-Brown_Breed-Media

© Jeff Brown / Breed Media

Benetti-Lunettes-Galerie-©-Alessandro-Guerrieri

© Alessandro Guerrieri

© Breed Media

Benetti-Lunettes-Galerie©-Tom-Van-Oossanen

©Tom Van Oossanen

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Affiche-Vig©-Fondation-Jardin-Majorelle-Photo-Nicolas

Enchanteur jardin majorelle !

En photo : 100th Anniversary jardin majorelle © DR //  © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

Affiche-du-centenaire-Jardin-Majorelle-c-DR.jpg

Affiche du centenaire du jardin majorelle © DR

100 ans, le bel anniversaire ! Une magnifique occasion de (re)découvrir cet endroit hors du temps, l’un des plus célèbres au monde. Car flâner dans ses verdoyantes allées est un enchantement. Sur plus d’un hectare de terrain, en plein cœur de Marrakech, dans le quartier Guéliz, au nord-ouest de la Médina, poussent ici plus de 300 espèces des plus incroyables variétés de plantes et d’arbres, dénichées par son propriétaire et créateur, Jacques Majorelle. 

Majestueux cactus, yuccas, nénuphars, nymphéas, jasmins, bougainvillées, palmiers, cocotiers et bambous… font le bonheur des visiteurs. Un tableau végétal luxuriant, à ciel ouvert, avec ses centaines d’oiseaux roucoulants dans les arbres. « D’une force rare, il est unique en son genre, décrit Madison Cox, le célèbre jardinier-paysagiste américain, veuf de Pierre Bergé et aujourd’hui président de la fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent, qui a redonné ses lettres de noblesse à ce havre. Comme Claude Monet, Majorelle fut l’un des plus grands collectionneurs de végétaux de son époque et son jardin lui servit de toile de fond pour ses tableaux. Tout comme Monet, toujours à l’affût de nouvelles plantes, Majorelle finança des expéditions botaniques. Important de nombreuses variétés d’essences rares, il correspondait avec d’autres collectionneurs et avec les jardins botaniques du monde entier… »

À la demande de Pierre Bergé et d’Yves Saint Laurent, la roseraie d’antan a aujourd’hui fait place à un sublime jardin d’agrumes, pour des questions d’économies d’eau, tout comme le gazon remplacé par du joli gravier rose, en hommage aux couleurs de Marrakech : un bel exemple aussi de préservation de l’environnement ! 

FONDATION JARDIN MAJORELLE

Ouvert tous les jours

Rue Yves Saint Laurent, Guéliz, 40090 Marrakech, Maroc.
jardinmajorelle.com

L’HISTOIRE

En 1917, le peintre orientaliste français Jacques Majorelle (1886-1962), fils du célèbre ébéniste Art Nouveau, Louis Majorelle, découvre le Maroc et décide de s’installer en 1919 dans la médina de Marrakech, alors sous protectorat français. En 1923, il achète une importante palmeraie en bordure de celle de Marrakech (qui deviendra le Jardin Majorelle que nous connaissons aujourd’hui) et fait construire sept ans plus tard la Villa Bousafsaf d’architecture classique marocaine. Yves Saint Laurent et Pierre Bergé, qui l’acquièrent en 1980, la rebaptiseront Villa Oasis. 

En 1931, Majorelle fait appel à l’architecte français Paul Sinoir pour construire son atelier de style Art déco d’une étonnante modernité, qu’il personnalisera du “bleu Majorelle” : une habitation au 1er étage et un vaste atelier d’artiste au rez-de-chaussée pour peindre ses immenses décors. Amoureux de botanique, il crée son jardin en plusieurs ambiances variées, autour de sa villa, le long du bassin central. À partir de 1947, il décide de l’ouvrir au public. A la suite d’un accident de voiture, Majorelle est rapatrié à Paris où il décède en 1962. Le jardin est alors laissé à l’abandon. C’est en 1980 que Pierre Bergé et YSL en font l’acquisition pour le sauver d’un projet immobilier et lui redonner vie. Après le décès d’YSL en 2008, Pierre Bergé fait don du jardin à la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent. C’est alors qu’est créée la Fondation Jardin Majorelle. A l’occasion des 100 ans du Jardin Majorelle, des festivités et événements culturels ponctueront l’année pour le plaisir des Marrakchis et des visiteurs. 

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 © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

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 Pierre Bergé et Yves Saint Laurent, Marrakech, fin des années 1960 © DR Musée Yves Saint Laurent Paris

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En 1937, l’artiste Jacques Majorelle crée
un bleu outremer à la fois intense et clair :
le bleu Majorelle, dont il teinte son jardin qu’il ouvre au public en 1947.

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EN VISITE !

Au sein du sublime Jardin, vous découvrirez aussi… Le mémorial Yves Saint Laurent (une colonne romaine trouvée sur la plage de Tanger) érigé à la mémoire du couturier, disparu le 1er juin 2008. « C’est la manière qu’ont les artistes de ne pas mourir tout à fait » aimait à dire Pierre Bergé. Mais aussi, situé dans l’ancien atelier de Jacques Majorelle, le Musée Pierre Bergé des arts berbères : un panorama de l’extraordinaire créativité de ce peuple à la culture toujours bien vivante, le plus ancien de l’Afrique du Nord avec plus de 600 objets (bijoux, armes, cuirs, vanneries, tissages, tapis). Une merveille ! Découvrez également la sublime librairie dont une section est consacrée à la mode, la boutique et son riche artisanat marocain, et le Café Majorelle (ou Café Bousafsaf), avec sa jolie cour extérieure ombragée sous les orangers et les bougainvillées blancs. Dépaysement garanti !

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 © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

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 © Fondation Jardin Majorelle-Photo Nicolas Matheus

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À l’heure de la Dolce Vita

En photo : couverture DOLCE VITA© Ed Assouline // © Alfonso Della Corte

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Une attitude, une esthétique, une ambiance… Bien plus qu’un simple concept, la dolce vita est un style de vie. Mode de vie typiquement italien, elle se popularise au cours des années 1960, avec la sortie du film du même nom de Federico Fellini. Six décennies plus tard, la dolce vita fait toujours parler d’elle, donnant à l’Italie un charme unique, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. De Ferdinando Scianna à Bruno Barbey, de nombreux photographes ont capturé son esprit, immortalisant sur leurs clichés cet esprit italien, de Rome, en passant par Naples et la Sicile. Ces pages sont aussi remplies de personnages inoubliables comme Maria Callas, Sophia Loren et Marcello Mastroianni. Un voyage épicurien à la découverte de l’Italie… comme on les aime ! 

DOLCE VITA

Texte de Cesare Cunaccia, 320  pages

Editions Assouline (assouline.com)

Dolce-Vita-4-Lunettes-Galerie-c-Ed-Assouline © Matt Jones

© Matt Jones

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© Arthur Elgort

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