Lunettes
DIOR par Raf Simons
En photo : DIOR par Raf Simons, Ed Assouline // Dior haute couture automne-hiver 2012 © Paolo Roversi / Art + Commerce

DIOR par Raf Simons
Texte de Tim Blanks, photographies de Laziz Hamani,
344 pages, 225 illustrations, 195€.
Ed Assouline (assouline.com)
C’est un ouvrage exceptionnel explorant les facettes singulières du style de Raf Simons au cours de ses années Dior. Ce nouvel opus – le sixième d’une série de livres consacrés à chacun des directeurs artistiques de la Maison – dévoile la vision créative du couturier belge moderniste au gré de « portraits de robes », immortalisés par le célèbre photographe Laziz Hamani. Voici donc une mise en lumière des créations haute couture les plus remarquables de Raf Simons chez Dior, de 2012 à 2015. Dès son 1er défilé, automne-hiver 2012-2013, il choisit de réinterpréter la silhouette iconique du New Look, métamorphosée en un tailleur-pantalon sculptural, comme un hommage à la vocation originelle de Christian Dior. « Il ne faut pas oublier le passé, il faut le dépasser », confiait-il. Saison après saison, Raf Simons multiplie les références aux passions qu’il partage avec Monsieur Dior – à l’instar de celles pour la nature et les jardins, le design ou encore l’art – et qui lui inspirent ses modèles. Un vent de modernité a soufflé au sein de la Maison Dior et ce livre célèbre aujourd’hui encore, ce renouveau.

Raf Simons 2012
© Willy Vanderperre / Art + Commerce

Le mannequin Nicole Pollard portant la robe du passage 32,
haute couture automne-hiver 2012, Dior Magazine, automne 2012.
© Willy Vanderperre/Art + Commerce

Le mannequin Élise Crombez portant la robe du passage 33, haute couture automne-hiver 2013, Dior Magazine, hiver 2013.
© Willy Vanderperre/Art + Commerce

Les mannequins Antonina Vasylchenko, Daria Strokous, Kinga Rajzak, Alexandra Martynova, Zuzanna Bijoch, Nastya Kusakina, Esther Heesch et Jac Jagaciak portant les passages 46, 54, 49, 45, 16, 44,47 et 48, haute couture automne-hiver 2012, Vanity Fair US, septembre 2012.
© Paolo Roversi / Art + Commerce
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Lunettes Tom Ford pour miser sur l’indémodable !
Lunettes Tom Ford by Marcolin – modèle FT1089_52E/ En photos : la collection de lunettes solaires Tom Ford by Marcolin. A celles et ceux aimant le raffinement donnant cette allure

Yeux iconiques
Leurs formes, leurs coloris, leurs styles graphiques, la finesse de leur métal ou la transparence irisée de leur acétate…, tout nous plaît dans ces belles nouveautés qui sont en plus,

Panoplie de star
Nous, on a repéré ces essentiels de l’automne. Car ces lunettes font le buzz à elles toutes seules ! C’est glam, c’est beau, c’est smart. Des montures au design élégant

Carine Bruet
©Courtesy of Burberry
À l’origine du modernisme ? Le style Bauhaus !
En photo : BAUHAUS Style, Ed Assouline // La Gagarin House I à Litchfield © Mark R. Madonna

Considéré comme l’école d’art la plus influente du XXe siècle, le Bauhaus impacte encore aujourd’hui les domaines de l’architecture, de l’art, du design, mais aussi de la mode, du cinéma et de la photographie. Avec son style propre et sa manière unique de s’intégrer dans notre société actuelle, l’esthétique du Bauhaus continue d’inspirer de nouvelles idées à tous ceux qui cherchent à créer des bâtiments, intérieurs, meubles, vêtements ou encore produits du quotidien. Révolutionnaire pour son époque, sa méthode d’apprentissage croisant de nombreuses disciplines a vite été érigée comme un exemple pour les écoles d’art à travers le monde. Il fût de plus, à l’origine d’une incroyable communauté de créatifs. Partageant des valeurs communes, les étudiants passaient leur temps libre à travailler ensemble, ou à échanger des idées nouvelles, créant ainsi un centre artistique encore inédit. Lorsque l’école ferme en 1933 à cause de la pression politique grandissante, de nombreux élèves et professeurs quittent l’Allemagne. Ils diffusent leurs idées — alors propres au Bauhaus — à l’international, annonçant ce qui deviendra par la suite l’essence même de l’esthétique moderniste.
Quelle belle idée d’avoir réuni ici les images les plus impactantes du siècle passé !

Alan Schaller, Metropolis 10, 2017 ; photographie de la série Metropolis.
© Alan Schaller

L’intérieur de cette agence de publicité madrilène, inspiré par des motifs géométriques Mondrian, a été conçu par Íñigo et Rodrigo Aragón du studio d’architecture d’intérieure Casa Josephine.
© Belen Imaz

Ce passage du défilé Mary Katrantzou de la collection automne-hiver 2018 allie le modernisme du Bauhaus et l’extravagance de l’époque victorienne. Comme d’autres femmes artistes du Bauhaus, Mary Katrantzou a débuté sa carrière en étudiant les textiles dédiés à l’art de vivre.
© Catwalking / Getty Images

La Gagarin House I à Litchfield, dans le Connecticut, conçue par Marcel Breuer entre 1956 et 1957. L’iconique cheminée en béton bouchardée a été imaginée comme une sculpture faisant référence aux courbes sensuelles d’un arbre en train de se ramifier
© Mark R. Madonna
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Carine Bruet
©Courtesy of Burberry
1823 – 2023, le rugby est en fête !
We are Rugby ! Du 8 septembre au 28 octobre prochain, c’est tout le pays qui vibrera pour la grande fête du rugby en accueillant la Coupe du Monde 2023, la 10e Coupe du Monde de l’histoire ! Elle se dispute tous les 4 ans depuis 1987. Au programme ? 48 matchs répartis dans 10 villes-hôtes (Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Nice, Paris, Saint-Denis, Saint-Etienne et Toulouse) qui recevront les 600 joueurs, issus des 5 grands continents, et répartis en 20 équipes engagées dans la compétition… Le match d’ouverture France – Nouvelle-Zélande, ouvrira le bal de ces festivités ! Prêts pour la mêlée ?

Anthologie Mondiale du Rugby
Jacques Verdier, préface Serge Blanco
512 pages, 45€. Ed Flammarion
Pour être incollable sur… l’histoire de ce sport, sa philosophie et ses valeurs, les 20 grandes nations, sa technique et ses écoles, les grands matchs les plus marquants et les 70 plus grands joueurs de tous les temps. Une BIBLE !
Pour la petite histoire…
En novembre 1823, lors d’un match de football mal engagé, le jeune étudiant britannique, William Webb Ellis, s’empare de la balle à pleines mains et fonce à toutes enjambées jusqu’aux buts adverses, en prenant soin d’éviter tous ses adversaires. Un geste qui signe l’acte de naissance du rugby, dont nous fêtons cette année le 200e anniversaire.
Quel pays remportera cette année le trophée William Webb Ellis ?
57 internationaux de l’équipe de France dévoilent leurs recettes favorites en d’authentiques souvenirs aussi touchants que gourmands. De la croustade de mémé de Fabien Pelous ou des beignets et haricots rouges de Serge Betsen, il y en a pour tous les goûts. C’est gourmand !

Le XV passe à table
Philippe Toinard, préface Guy Savoy
256 pages, 39€. Ed de La Martinière

Extrait du livre « Le XV passe à table », Ed de La Martinière ©Vincent Baldensperger
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Carine Bruet
Modigliani & Paul Guillaume, le peintre et son marchand
En photo : Amedeo Modigliani (1884-1920). Fille rousse, 1915. © RMN-Grand Palais (Musée de l’Orangerie)
// Paul Guillaume (1891-1934). Modigliani dans son atelier, rue Ravignan. © RMN-Grand Palais (Musée de l’Orangerie)

Paul Guillaume (1891-1934). Modigliani dans son atelier, rue Ravignan.
Vers 1915. Photographie. 145 x 96 cm. Paris, musée de l’Orangerie.
© RMN-Grand Palais (Musée de l’Orangerie)
/ Archives Alain Bouret, image Dominique Couto
Découvrir le travail d’un peintre à travers sa relation avec son marchand principal, c’est le sujet de la formidable exposition du Musée de l’Orangerie qui nous relate, cette rentrée, la relation artistique et amicale nouée entre l’un des plus célèbres artistes maudits du Paris bohème des années 1910, Amedeo Modigliani, et le visionnaire collectionneur d’art moderne qu’était Paul Guillaume. À son arrivée à Paris en 1906, Modigliani d’origine italienne est peintre. Sa rencontre avec Brancusi en 1909 agit comme une révélation : il s’initie à la sculpture et, jusqu’en 1913, s’y consacre presque exclusivement. Sa rupture avec la pratique de la sculpture est aussi soudaine que totale : de 1914 à sa mort en 1920, il produit alors plusieurs centaines de tableaux et un ensemble important de dessins, consacrés à la seule figure humaine. C’est cette pratique de la peinture qui est au cœur de la relation entre l’artiste et le marchand. Paul Guillaume l’encourage, lui loue un atelier à Montmartre, fait connaître ses toiles dans les cercles artistiques et littéraires parisiens. Il achète, vend et collectionne ses œuvres assurant à l’artiste une condition matérielle nouvelle ainsi qu’une renommée grandissante jusqu’à l’étranger (plus d’une centaine de toiles, une cinquantaine de dessins et une dizaine de sculptures de l’artiste seraient passés par les mains du marchand).
AMEDEO MODIGLIANI
Un peintre et son marchand
Du 20 septembre au 15 janvier 2024
Musée de l’Orangerie. Paris 1er.

Amedeo Modigliani (1884-1920). Paul Guillaume, Novo Pilota. 1915. Huile sur carton collé sur contre-plaqué parqueté 105 x 75 cm.
Paris, musée de l’Orangerie.
© RMN-Grand Palais (Musée de l’Orangerie) / Hervé Lewandowski

Amedeo Modigliani (1884-1920). Femme au ruban de velours.
Vers 1915. Huile sur papier collé sur carton. 54 x 45,5cm.
Paris, musée de l’Orangerie.
© RMN-Grand Palais (Musée de l’Orangerie) / DR

Amedeo Modigliani (1884-1920). Fille rousse. 1915. Huile sur toile, 40,5 x 36,5 cm. Paris, musée de l’Orangerie.
© RMN-Grand Palais (Musée de l’Orangerie) / Hervé Lewandowski
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Carine Bruet
Yves Saint Laurent sous toutes ses formes !
En photo : Gurmitt Kaur Campbell et Yves Saint Laurent © Yves Saint Laurent © François-Marie Banier
// Robe portée par Bambi, © Yves Saint Laurent © Guy Marineau

Prolongeant l’exposition, ce superbe catalogue revisite les créations les plus radicales et minimales du couturier : traits, couleurs, volumes sont mis en regard avec l’histoire de l’art et la création contemporaine.
192 pages, 39€. Ed Flammarion
Issus des collections du Musée YSL Paris, c’est une quarantaine de modèles haute couture et prêt-à-porter, accessoires et croquis, certains inédits, qui prennent vie dans cette mise “en espace” originale de l’artiste allemande férue de géométrie et les volumes, Claudia Wieser. C’est qu’elle a l’art de mettre en scène le génie du couturier ! Yves Saint Laurent, lui aussi, n’a eu de cesse d’inventer des formes. Dès 1958, directeur artistique chez Christian Dior, il affirme sa modernité en signant la ligne “Trapèze” : une silhouette géométrique devenue iconique dans l’histoire de la mode. Puis, à partir des années 1960, ses créations allient simplicité de la coupe, rigueur des lignes et franchise des couleurs. Ses œuvres font écho aux courants artistiques modernes, abstraction simple et géométrique, constructivisme, art concret… YSL aime les contrastes. Radical, le couturier exécute des robes minimales et des combinaisons monochromes comme jaillies d’un seul trait, avec derrière, apothéose de son art, la précision du geste. Que de merveilles !
YVES SAINT LAURENT – FORMES
Œuvres et décors de Claudia Wieser
Jusqu’au 14 janvier 2024
Musée Yves Saint Laurent, 5 av Marceau, Paris 16e
Noir & Blanc.
Dessiner la forme
Illusionniste, il oppose le noir au blanc pour créer, par jeux d’optique, du mouvement dans le vêtement. Par l’utilisation de l’aplat ou du simple tracé, la forme prévaut sur la couleur.

Robe portée par Shiraz Tal,
collection haute couture automne – hiver 1998
© Yves Saint Laurent © Guy Marineau

Robe « Stockholm », collection Christian Dior par Yves Saint Laurent
haute couture printemps – été 1959.
© Yves Saint Laurent © Matthieu Lavanchy
Formes pures
La mode, selon YSL, ne doit pas être raide mais bien au service de la femme. « Une robe, ce n’est pas de « l’architecture », c’est une maison : elle n’est pas faite pour être contemplée, mais pour être habitée et il faut que la femme qui l’habite se sente belle et bien dedans ».

Robe portée par Bambi,
collection haute couture printemps – été 2001
© Yves Saint Laurent © Guy Marineau

Gurmitt Kaur Campbell et Yves Saint Laurent dans les coulisses
du défilé SAINT LAURENT rive gauche automne – hiver 1988.
© Yves Saint Laurent © François-Marie Banier
« Je pense que l’élément principal (…) est un retour à des tendances jusque-là un peu oubliées c’est-à-dire la simplicité, le naturel et la souplesse. »
Interview Yves Saint Laurent par André Parinaud, 1959, INA.
Formes & Couleurs
Coloriste hors pair, Saint Laurent ose une palette radicalement nouvelle, empruntant pour ses tenues les tons vifs de l’abstraction géométrique ou ceux vibrant du Pop art, transposant la matière picturale en matière textile…

Tailleur mondrian, porté par Mounia Orosemane,
collection haute couture printemps – été 1980
© Yves Saint Laurent © Droits réservés

Robe portée par Natalia semanova,
collection SAINT LAURENT rive gauche automne – hiver 1997
© Yves Saint Laurent © Droits réservés
Formes & Géométrie
YSL a affirmé l’importance de la forme dès sa 1ère collection chez Dior en 1958, où une majeure partie des modèles était confectionnée à partir du trapèze qualifiant ainsi la ligne de cette collection. La forme reste présente au fil de ses collections, jusqu’à la fin de sa carrière

Veste de satin de soie,
collection SAINT LAURENT rive gauche automne-hiver 1988.
© Yves Saint Laurent © Photo Thibaut Voisin, Décor Claudia Wieser

Croquis de recherche,
collection SAINT LAURENT rive gauche automne – hiver 1988
© Yves Saint Laurent
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Carine Bruet
Lunettes Minamoto : l’ode à l’artisanat japonais d’excellence by Charmant !
Lunettes Minamoto : l’ode à l’artisanat japonais d’excellence by Charmant !
On se ne lasse pas de l’univers Minamoto ! Du logo aux montures, en passant par l’étui, cette nouvelle collection de lunettes, sortie en 2021, nous invite à un véritable voyage dans l’artisanat japonais d’exception. Authenticité, confort, haute qualité, finesse et soin des détails… c’est bien là aussi tout le savoir-faire du leader mondial des lunettes en titane qui nous est proposé dans ces sublimes montures. Un vrai coup de cœur !
En photo : lunettes Minamoto by Charmant – Modèle MN31009 RG – Shino 1 / MN 31019 GP – Chirodi
Un an seulement après sa création et voilà Minamoto, la marque maison japonaise du groupe Charmant, déjà récompensée en 2022 d’un IF Design Award dans la catégorie “Produit”. Il faut dire que ces lunettes au design épuré nous ont rapidement fait de l’œil pour habiller nos regards. Revenir aux origines et faire que chaque monture soit un objet d’art et de design créé pour durer et centré sur l’essentiel : voilà précisément la devise de la marque. Une collection unique qui condense ainsi l’histoire de Charmant, le précurseur de la lunette en titane, mais aussi celle d’une région unique au monde de par son histoire et ses compétences ancestrales et artisanales.
Minamoto : des lunettes qui « racontent » une histoire…
Traduit du japonais, Minamoto signifie « Origine ». L’exacte définition de cette collection née et fabriquée à Sabae, ville au cœur de la préfecture de Fukui, le berceau de l’industrie lunetière japonaise (à l’image de la vallée du Jura en France) et chère au groupe Charmant qui y a installé son siège. Désireux de (re)mettre en lumière la véritable nature des lunettes japonaises, le groupe Charmant est donc retourné aux racines de l’histoire de la lunetterie nippone pour créer Minamoto, sa marque maison. C’est d’ailleurs, à partir d’une incroyable collection privée de lunettes historiques appartenant à son président fondateur, M. Kaoru Horikawa, que les designers de Minamoto ont imaginé ces lunettes. Avec des paires datant, par exemple, du XIIe siècle, Minamoto s’est inspiré de neuf siècles d’artisanat ancien, de tradition et de minimalisme zen, pour créer une collection authentique, revendiquant un savoir-faire ancestral japonais mondialement reconnu.

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle MN31009 RG – Shino

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle MN31022 BU – Tsurumaru

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle MN31006 AY – Shichiroji

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle MN31013 LG – Kunie
Une essence japonaise qui se devine ainsi jusque dans les moindres détails. Tel le logo Minamoto qui a été dessiné à la main par un maître calligraphe japonais de renom sous forme de calligraphie pour créer ce Kanji, signifiant « l’essence de », le « point de départ ». Ce Kanji Minamoto est estampillé sur tous les manchons en guise de signature… Chaque lunette Minamoto est accompagnée d’un superbe étui fabriqué à partir de papier washi japonais issu d’une petite entreprise artisanale, familiale et locale basée à Fukui depuis plus de 1500 ans. Façonné individuellement et à la main par un maître artisan, chaque écrin est donc unique !
Le savoir-faire Minamoto by Charmant en vidéos…
Des lunettes en titane japonais d’une pureté absolue : une référence sur le marché !
Le titane japonais, reconnu pour être le meilleur du marché ! Parce qu’il est le plus pur, totalement respectueux pour la peau car anallergique, le plus résistant à la corrosion et le plus durable et robuste, ce matériau fait partie de l’ADN de l’histoire de Charmant, première entreprise au monde à l’avoir utilisé dès les années 1980. Depuis des décennies, ce fabricant joue d’ailleurs un rôle pionnier dans le traitement et la recherche qualitative de ce titane. Des propriétés d’exception que les lunettes Minamoto revendiquent, là encore ! Chaque monture est un modèle original, combinant le savoir-faire technique japonais au design minimalisme de la collection. Un style incarnant à la perfection le meilleur du Made in Japan…
La sélection de la rédaction : focus sur la collection Minamoto
« The original. For originals ». Tout est dit ! Voici des modèles optiques et solaires (avec option de clips), pour femme, homme et unisexe, incarnant à la perfection cette philosophie zen, qui ôte tout superflu pour aller à l’essentiel. Un minimalisme assumé des formes et une belle sobriété, qui nous séduisent tant ! Difficile de choisir un modèle plutôt qu’un autre… Soulignons surtout les caractéristiques techniques et la finesse des détails apposés sur ces montures : le Kanji Minamoto révélé sur les manchons par système de presse ; un placage or, argent ou rose pour certains modèles ; des montures en titane pur sur la face (tenon, pont et plaquettes) et les manchons, et du béta titane sur les branches ; d’astucieux clips solaires disponibles sur certains modèles ; des verres polarisés utilisant un film triacétate et le logo gravé sur la barre supérieure…

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle 31022 BU

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle 31013 GP

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle 31018 GP

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle 31014 WP
Les nouveautés Minamoto ? Des accents de couleur rouge et noir semblables à ceux de l’urushi (ancien art japonais de la laque) apparaissent sur certains modèles. Et puis, joli clin d’œil : alors que la première collection était un hommage aux Sept Samouraïs du célèbre cinéaste japonais Akira Kurosawa, de nouveaux modèles portent le nom des personnages de ses autres classiques (Sanjuro, Kunie, Chidori, etc.).

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle 31020 RG

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle 31015 GP

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle 31019 GP

Lunettes Minamoto by Charmant – Modèle 31012 AY
ON AIME : cette collection pensée et voulue pour nous “accompagner dans le temps” et ne pas être qu’un banal accessoire de mode éphémère. La volonté de Charmant était d’ailleurs de transmettre à travers ces lunettes, le ai-chaku (愛着) : cette affection portée aux choses que nous utilisons depuis longtemps et qui continueront de nous suivre… Pas de doute, pour nous, ce pari est bel et bien réussi !


En photo : la collection de lunettes Minamoto by Charmant
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ICONIC, la bible emblématique pour tout collectionneur
En photo : ICONIC : Art, Design, Advertising, and the Automobile. Ed Assouline // Ferrari 250 GT Lusso (1964) © Michael Furman

ICONIC : Art, Design, Advertising, and the Automobile.
Texte de Ken Gross, photos de Michael Furman.
341 pages, plus de 200 illustrations. 120€.
Ed Assouline (assouline.com)
Que ce livre porte bien son nom ! Aston Martin DB5, Formule Ford de Jacques Villeneuve, Jaguars Type E, Porsche 918 de 2015… quelques-unes des fabuleuses voitures présentées dans l’impressionnant Dare to Dream Automotive Museum. Entrepreneur international, philanthrope et passionné d’automobile, Miles S. Nadal a constitué une collection de voitures classiques (et un musée de renommée mondiale) les plus remarquables du siècle dernier (des supercars aux Ferrari, de Ford à Porsche, en passant par les récentes voitures électriques), soigneusement sélectionnées pour leur importance, leur pertinence et, surtout, pour leur essence emblématique. Nous les admirons dans cette bible-collector qui nous explique aussi, au travers d’entretiens avec des sommités du milieu, ce que signifie… être une “icône”. Un ouvrage qui étudie la relation entre l’automobile et le monde de la publicité et examine comment ce monde façonne la perception de l’automobile en tant qu’objet de désir ! C’est beau, c’est rutilant. Et on embarque à bord de ces bolides… avec passion !

Mercedes-Benz 300SL Gullwing (1955) © Michael Furman

Mercedes-Benz 300SL Roadster (1959) © Michael Furman

Lamborghini Miura P400SV
© Michael Furman

BMW Isetta 250 (1957) © Michael Furman

Jaguar XK-150 (1959) © Michael Furman

Ferrari 250 GT Lusso (1964) © Michael Furman
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Carine Bruet
Le chic à l’anglaise de Burberry se raconte dans un livre !
En photo : BURBERRY, Ed Assouline // Extrait du livre BURBERRY ©Courtesy of Burberry

So british ! Telle est la passionnante aventure de la griffe fondée en 1856 et qui, au fil des ans, s’est transformée en Maison de luxe indémodable. Il fallait bien un superbe livre pour nous faire découvrir les 165 ans d’innovation qui ont fait la renommée de Burberry. Saviez-vous que l’entreprise familiale a habillé rois et reines, et des explorateurs, pendant des siècles ? Créer des vêtements adaptés aux caprices de la météo britannique, voilà l’idée ingénieuse de l’ancêtre, Thomas Burberry, dans un XIXe siècle en plein essor. De fil en aiguille et en créations, et voici la marque incontournable des podiums avec ses pièces iconiques, ses indémodables gabardines, son trench-coat crée en 1914 ou sa robe trench-coat vue au défilé 2023… Son imprimé tartan beige est aussi célèbre que la défunte Queen Élisabeth II.
« Burberry, c’est l’histoire de la créativité, de l’exploration, de l’innovation, autant d’éléments qui restent au cœur de la marque, confie Carly Eck, l’archiviste de la marque chez Burberry. En déterrant un trésor dormant, d’innombrables pépites d’or ont été révélées. Ce livre, le seul à être endossé par la marque ces derniers temps, présente un panorama de l’extraordinaire héritage de l’entreprise, qui mérite d’être largement célébré. C’est l’étoffe des légendes ».

©Courtesy of Burberry

©Courtesy of Burberry

©Courtesy of Burberry

©Courtesy of Burberry

©Courtesy of Burberry
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Carine Bruet
©Courtesy of Burberry
Embarquement immédiat sur la Riva Aquarama
En photo : Riva Aquarama, Ed Assouline // © Oliver Pilcher

Riva Aquarama
Texte de Michael Verdon, photographies d’Oliver Pilcher.
208 pages, plus de 200 illustrations, couverture sous coffret à clapet, 1200€
Ed Assouline (assouline.com)
En novembre 1962 naît Aquarama : une légende, “le bateau” par excellence, devenant le symbole de la marque Riva. 61 ans déjà ! Dans ce livre-hommage, c’est toute l’histoire de ce bateau hors du commun qui nous est contée. Imaginé par le légendaire Carlo Riva, cet intrépide tout en bois est devenu une icône du design italien, apprécié pour ses lignes pures, son acajou laqué, ses chromes métallisés et son revêtement couleur crème et bleu d’œuf de rouge-gorge incarnant sa marque de fabrique. Bénéficiant d’un incroyable prestige, il a été adulé par les stars de cinéma, les chefs d’État et les têtes couronnées : tous, de Brigitte Bardot à Elizabeth Taylor, Gunter Sachs et la famille royale de Monaco, parmi d’autres innombrables célébrités, ont été subjugués par son style. Sur les 760 Aquaramas construits sur le chantier naval de Sarnico en Lombardie, les experts Riva estiment que seulement 650 sont encore aujourd’hui en fonctionnement. Ce qui le rend, c’est sûr, éternellement… enviable !

La largeur et le renfoncement de son solarium, à la poupe, en font un espace sécurisé pour s’y allonger tandis que le bateau avance. ©Alberto Cocchi

Le tableau de bord d’un Aquarama Super ©Oliver Pilcher

©Oliver Pilcher

Dessin d’origine de Giorgio Barilani, l’architecte responsable du design sur le chantier naval de Riva. ©Riva Yacht

Un Aquarama Special à Capri ©Cameron Hammond

La beauté enchanteresse du lac de Côme pour passer quelques jours à paresser sur un Aquarama. © Oliver Pilcher
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